Il y a des matins qui sont comme des nuits
La lumière fait soudain place à l’ennui
Il y a des jours ou l’enfer se glace
Et l’amour envahis toute la place
Il y a des nuits comme des jours
Où l’amour cède la place à toujours
Il y a des offrandes qui glissent en de belles guirlandes
Il y a des montagnes qui deviennent campagne
Et l’olivier est là pour ce sentiment de paix
Il y a des jamais qui deviennent des toujours
Il y a des bruits qui fleurissent en pleine nuit
Il y a du bonheur parsemé dans nos cœurs
Il a cette grâce lorsque tu prends toute ma place
Il y a le jour et puis la pluie
Qui inonde et emporte les soucis de ma vie
Il y a tes bras qui m’emmènent là
Où rien ne peut plus m’arriver
Seulement le bonheur d’être avec toi à mes cotés
Il y a toi il y a moi
Et puis c’est la vie qui s’enfuit
Chuchotant a mi- mots mes tourments mes errements
Il y a ce serrement du vent qui s’en va fugace
Il y a le temps qui ne dure qu’un instant
il y a tant et tant de choses encore
Que mon cœur fait silence tellement il a peur
Il y a toi, il y a moi
Et la nuit qui sans bruit s’est enfuit
Comme le nom de ta voix
Et ces doux mots
Et mes sanglots
Et mon bonheur
Pour auréoler ma douceur d’être à toi
Il y a des nuits qui sont comme des matins.
morjane
29/12/04
La lumière fait soudain place à l’ennui
Il y a des jours ou l’enfer se glace
Et l’amour envahis toute la place
Il y a des nuits comme des jours
Où l’amour cède la place à toujours
Il y a des offrandes qui glissent en de belles guirlandes
Il y a des montagnes qui deviennent campagne
Et l’olivier est là pour ce sentiment de paix
Il y a des jamais qui deviennent des toujours
Il y a des bruits qui fleurissent en pleine nuit
Il y a du bonheur parsemé dans nos cœurs
Il a cette grâce lorsque tu prends toute ma place
Il y a le jour et puis la pluie
Qui inonde et emporte les soucis de ma vie
Il y a tes bras qui m’emmènent là
Où rien ne peut plus m’arriver
Seulement le bonheur d’être avec toi à mes cotés
Il y a toi il y a moi
Et puis c’est la vie qui s’enfuit
Chuchotant a mi- mots mes tourments mes errements
Il y a ce serrement du vent qui s’en va fugace
Il y a le temps qui ne dure qu’un instant
il y a tant et tant de choses encore
Que mon cœur fait silence tellement il a peur
Il y a toi, il y a moi
Et la nuit qui sans bruit s’est enfuit
Comme le nom de ta voix
Et ces doux mots
Et mes sanglots
Et mon bonheur
Pour auréoler ma douceur d’être à toi
Il y a des nuits qui sont comme des matins.
morjane
29/12/04
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