Quand je pense à cette vie qui nous sépare,
A toutes les heures d’amour en retard,
Je voudrais figer le temps en miroir,
Étirer nos sourires sur l’écritoire.
J’emporte dans ma nuit le bruissement d’un cauchemar,
Notre histoire, impossible cri en fond de répertoire,
Toutes les étoiles de nos yeux réclamant l’espoir,
La douceur de nos mains, posée sur l’envie de nous voir.
Je me souviens de nos premiers mots bout à bout,
De nos silences enfermés dans cet impossible nous,
Interminable instant étiré jusqu’à la limite de tout,
Infatigables échanges, vertiges, regards flous.
Puis je suis venue vers toi sans même penser,
Que nos cœurs, que nos corps, allaient chavirer,
Et à l’instant même de nos bouches, emportées,
J’ai su … que nous allions nous aimer.
Nathalie Cougny
A toutes les heures d’amour en retard,
Je voudrais figer le temps en miroir,
Étirer nos sourires sur l’écritoire.
J’emporte dans ma nuit le bruissement d’un cauchemar,
Notre histoire, impossible cri en fond de répertoire,
Toutes les étoiles de nos yeux réclamant l’espoir,
La douceur de nos mains, posée sur l’envie de nous voir.
Je me souviens de nos premiers mots bout à bout,
De nos silences enfermés dans cet impossible nous,
Interminable instant étiré jusqu’à la limite de tout,
Infatigables échanges, vertiges, regards flous.
Puis je suis venue vers toi sans même penser,
Que nos cœurs, que nos corps, allaient chavirer,
Et à l’instant même de nos bouches, emportées,
J’ai su … que nous allions nous aimer.

Nathalie Cougny
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