L’enfant et son jardin
L’enfant dans son jardin,
Convaincu d’un avenir certain,
Songerait à son futur butin,
Qu’il récolterait chaque matin,
Fait de plaisirs énormes, pas lointains.
L’adolescent dans son collège,
Lorsqu’il découvrira les attractions de la vie et ses privilèges,
Croira toujours que celle-ci est blanche comme neige,
Jusqu’au jour il sera confronté à ces sacrilèges,
Qu’il sache enfin que la neige n’est pas toujours un privilège,
Le jeune homme prêt à affronter l’avenir,
Souvent apte à se lancer dans l’aventure,
Loin de toute protection, de toute armure,
Finit par découvrir l’imposture,
Les fausses promesses de mauvaise augure,
Et finalement, la fragilité de son avenir,
La déception accompagnera ses anciens souvenirs,
Souvent faits de rêves frôlant le délire.
L’homme mur finit par comprendre…
Il tente de se ressaisir,
Et de se contenir,
Pour mieux aborder sa mésaventure,
Faite de négation et de forfaiture.
Il se dit alors, que tout l’avenir est à bâtir,
De volonté et de détermination, il peut se construire,
Que contrairement aux autres, lui doit offrir,
Des rêves mais surtout un espoir futur,
Pour lui-même et sa progéniture.
Ainsi, il a su que la neige fond au moindre rayon de soleil,
Qu’il faille se réveiller de son sommeil,
Que les voies à suivre sont fournies par les fourmis et les abeilles,
Et par les nations qui ont tirées profit de la neige et du soleil,
Et que pour réussir, il suffirait d’une volonté pareille.
C.B, le 03.01.2005.
L’enfant dans son jardin,
Convaincu d’un avenir certain,
Songerait à son futur butin,
Qu’il récolterait chaque matin,
Fait de plaisirs énormes, pas lointains.
L’adolescent dans son collège,
Lorsqu’il découvrira les attractions de la vie et ses privilèges,
Croira toujours que celle-ci est blanche comme neige,
Jusqu’au jour il sera confronté à ces sacrilèges,
Qu’il sache enfin que la neige n’est pas toujours un privilège,
Le jeune homme prêt à affronter l’avenir,
Souvent apte à se lancer dans l’aventure,
Loin de toute protection, de toute armure,
Finit par découvrir l’imposture,
Les fausses promesses de mauvaise augure,
Et finalement, la fragilité de son avenir,
La déception accompagnera ses anciens souvenirs,
Souvent faits de rêves frôlant le délire.
L’homme mur finit par comprendre…
Il tente de se ressaisir,
Et de se contenir,
Pour mieux aborder sa mésaventure,
Faite de négation et de forfaiture.
Il se dit alors, que tout l’avenir est à bâtir,
De volonté et de détermination, il peut se construire,
Que contrairement aux autres, lui doit offrir,
Des rêves mais surtout un espoir futur,
Pour lui-même et sa progéniture.
Ainsi, il a su que la neige fond au moindre rayon de soleil,
Qu’il faille se réveiller de son sommeil,
Que les voies à suivre sont fournies par les fourmis et les abeilles,
Et par les nations qui ont tirées profit de la neige et du soleil,
Et que pour réussir, il suffirait d’une volonté pareille.
C.B, le 03.01.2005.
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