Je passe, comme le temps, comme la vie, la jeunesse, la liberté, toutes ces illusions fugaces, je passe sans laisser de trace. Je passe sans me retourner, et mon bagage est si léger, j'y ai rangé ma vie, mes amours frelatées et mes espoirs tronqués. Une dernière fois, je passe, prisonnier d'un espace qui me flegmatise. Je froisse entre mes doigts ce cornet de papier, où gisent les poussières et effluves d'antan... Je passe et je m'efface dans un soufflé de vent. L'écho fragile des pas émouvants, vaporeux, depuis longtemps s'est tu dans la ville des pas PERDUE.
Il y’as des souvenirs légers comme le vent. Vous êtes mon doux présent aux senteurs de soleil et de roses, avec vos mots aux saveurs têtues, insistants et troublants, choisis avec talent, distillés savamment, dosés, pesés, pensés, enrobés de talent… dessinant des rêves, de magiques paroles, aux parfums du printemps, caressantes que nos paupières se closent, riant puis s'évadant
L'amour n'aspire qu'à se découvrir pleinement. Vous fondre en ce ruisseau onduleux qui chante une mélodie de la nuit. Éprouver la douleur d'un comble de tendresse. Porter la blessure qui n'est due qu'à votre incompréhension de l'amour. Vous réveiller à l'aube le coeur ailé et rendre grâce pour cette nouvelle journée, ce nouveau monde où il vous est permis de l'aimer ; Réfléchir ensuite sur la félicité de l'amour; et revenir chez vous avec un esprit rempli de gratitude; Enfin, vous endormir avec en votre cœur une prière pour l'être aimé. Il dort voyez comme il dort bien... Son souffle est d'un enfant... Léger comme un zéphyr, tiède comme un soleil... Sous les paupières baissées, j'essaie de deviner ses pensées, ses amours, ses chagrins, ses rires, ses misères, ses rêves, sa maison, ses écris et ses enchantements...
Elle dort...Parfois, ses cils frémissent comme ailes de papillon, comme les pousses de sa rose ... Et une ombre légère assombrit sa joue tendre... C'est mon bébé, c’est ma maison, c’est ma famille et eux son mes adorées, c’est la prunelle de mes yeux, Hadeer c’est ce qui me reste, je veille, je lutte, je souffre...Voyez-vous, ce nouveau monde, j'y tiens, je le protège. Vous ne le romprez pas, Je ne permettrai pas...
Il y’as des souvenirs légers comme le vent. Vous êtes mon doux présent aux senteurs de soleil et de roses, avec vos mots aux saveurs têtues, insistants et troublants, choisis avec talent, distillés savamment, dosés, pesés, pensés, enrobés de talent… dessinant des rêves, de magiques paroles, aux parfums du printemps, caressantes que nos paupières se closent, riant puis s'évadant
L'amour n'aspire qu'à se découvrir pleinement. Vous fondre en ce ruisseau onduleux qui chante une mélodie de la nuit. Éprouver la douleur d'un comble de tendresse. Porter la blessure qui n'est due qu'à votre incompréhension de l'amour. Vous réveiller à l'aube le coeur ailé et rendre grâce pour cette nouvelle journée, ce nouveau monde où il vous est permis de l'aimer ; Réfléchir ensuite sur la félicité de l'amour; et revenir chez vous avec un esprit rempli de gratitude; Enfin, vous endormir avec en votre cœur une prière pour l'être aimé. Il dort voyez comme il dort bien... Son souffle est d'un enfant... Léger comme un zéphyr, tiède comme un soleil... Sous les paupières baissées, j'essaie de deviner ses pensées, ses amours, ses chagrins, ses rires, ses misères, ses rêves, sa maison, ses écris et ses enchantements...
Elle dort...Parfois, ses cils frémissent comme ailes de papillon, comme les pousses de sa rose ... Et une ombre légère assombrit sa joue tendre... C'est mon bébé, c’est ma maison, c’est ma famille et eux son mes adorées, c’est la prunelle de mes yeux, Hadeer c’est ce qui me reste, je veille, je lutte, je souffre...Voyez-vous, ce nouveau monde, j'y tiens, je le protège. Vous ne le romprez pas, Je ne permettrai pas...
