Dans la rue, dans la cohue
je te cherche sans te voir
au-delà des ombres folles
qui encombres les trottoirs humides
dans le matin blème
d'un automne monotone
où le gris s'impose comme
seul décors d'une nature
tout juste déshabillé.
On s'était connu juste là
au milieu du parc
sur ce banc fait de bois
et garnis d'une ferraille
tout juste rouillé par les
secrets de quelques amoureux
venant là pour se retrouver
voir même se ressourcer.
La pluie balaye mon visage
et une flaque d'eau projetée
par une voiture mouille
les parties encore séchent de mes
vetements.
C'était en Juillet, ce parc
était alors haut en couleur,
on y sentait l'odeur de mille fleurs
et les cris et rires des enfants
inondaient cet espace de bonheur.
Tu me demandais l'heure
et sans réfléchir je t'ai dis
" midi je crois ", abosorbé
par le livre que je venais d'acheter
chez le libraire d'en face.
C'est là que je te vis dans toute
ta splendeur, habilée comme l'été
toute en couleur, tu brillais comme
un diamant sorti de son écrin....
je te cherche sans te voir
au-delà des ombres folles
qui encombres les trottoirs humides
dans le matin blème
d'un automne monotone
où le gris s'impose comme
seul décors d'une nature
tout juste déshabillé.
On s'était connu juste là
au milieu du parc
sur ce banc fait de bois
et garnis d'une ferraille
tout juste rouillé par les
secrets de quelques amoureux
venant là pour se retrouver
voir même se ressourcer.
La pluie balaye mon visage
et une flaque d'eau projetée
par une voiture mouille
les parties encore séchent de mes
vetements.
C'était en Juillet, ce parc
était alors haut en couleur,
on y sentait l'odeur de mille fleurs
et les cris et rires des enfants
inondaient cet espace de bonheur.
Tu me demandais l'heure
et sans réfléchir je t'ai dis
" midi je crois ", abosorbé
par le livre que je venais d'acheter
chez le libraire d'en face.
C'est là que je te vis dans toute
ta splendeur, habilée comme l'été
toute en couleur, tu brillais comme
un diamant sorti de son écrin....
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