Un soir au bout d’un vallon
Errait une âme à l’abandon
Un peu perdu une peu frivole
Elle chantait malgré le frimas
L’air hagard un peu perdu
Je ne sais pas ce qu’elle cherchait
Une lueur au fond d’un bois
Une odeur familière
Un pot de terre un verre brisé
Elle ne sait plus car elle errait
Elle avançait dans ce vallon
Où respirait l’air du pardon
Un je ne sais quoi douceur de vivre
Comme un tempo
Une respiration
Le temps de poser son âme
De respirer cette flamme
Elle avançait métamorphosé
Pauvre petit chose
Comme une osmose
Elle était rose de gaîté
Un peu hagard un peu perdu
Mais si heureuse
Je ne sais pas ce qu’elle a vus
Elle avançait vers la vallée
D’un pas léger l’âme reposé
Elle était bien sur perdue
Mais dans son cœur l’âme s’est ancrée
Elle avait retrouvé sa vie
Petite lumière ainsi blottis
D’un doux sourire caresse l’âme
Une ritournelle la trouve belle
L’âme frivole elle rêve aux cieux
Ses yeux d’amour brillent de mille feux
Elle est à lui, oui elle le veux.
morjane
25/01/05
Errait une âme à l’abandon
Un peu perdu une peu frivole
Elle chantait malgré le frimas
L’air hagard un peu perdu
Je ne sais pas ce qu’elle cherchait
Une lueur au fond d’un bois
Une odeur familière
Un pot de terre un verre brisé
Elle ne sait plus car elle errait
Elle avançait dans ce vallon
Où respirait l’air du pardon
Un je ne sais quoi douceur de vivre
Comme un tempo
Une respiration
Le temps de poser son âme
De respirer cette flamme
Elle avançait métamorphosé
Pauvre petit chose
Comme une osmose
Elle était rose de gaîté
Un peu hagard un peu perdu
Mais si heureuse
Je ne sais pas ce qu’elle a vus
Elle avançait vers la vallée
D’un pas léger l’âme reposé
Elle était bien sur perdue
Mais dans son cœur l’âme s’est ancrée
Elle avait retrouvé sa vie
Petite lumière ainsi blottis
D’un doux sourire caresse l’âme
Une ritournelle la trouve belle
L’âme frivole elle rêve aux cieux
Ses yeux d’amour brillent de mille feux
Elle est à lui, oui elle le veux.
morjane
25/01/05
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