Le passant
Qu'elle est triste la vie de l'être qui s'efface,
Qui garde de son passé, une poignée de pensée
Qu'il est triste cet être qui voit le temps qui passe
Cet être qui crie de ne pouvoir l'arrêter
L'être qui survole la vie et qui n'est jamais vu
Et qui regarde s'en aller sa triste liberté
Qui s'envole au son endiablé du chanteur des rues
L'être qui ne se voit pas et qu'on peut transpercer
Les matins, il broie du noir devant son café
Il marche sur le toit du monde les jours d'hiver
Le cœur refroidit, il ne touche plus terre…
Devant sa tombe, les gens passent chaque jour
Ils rient et ils s'amusent, ils en oublient sa mort
Personne n'a le mal de lui ou veut son retour
Qu'il est triste d'être mort puisqu'on l'ignore encore
Qu'elle est triste la vie de l'être qui s'efface,
Qui garde de son passé, une poignée de pensée
Qu'il est triste cet être qui voit le temps qui passe
Cet être qui crie de ne pouvoir l'arrêter
L'être qui survole la vie et qui n'est jamais vu
Et qui regarde s'en aller sa triste liberté
Qui s'envole au son endiablé du chanteur des rues
L'être qui ne se voit pas et qu'on peut transpercer
Les matins, il broie du noir devant son café
Il marche sur le toit du monde les jours d'hiver
Le cœur refroidit, il ne touche plus terre…
Devant sa tombe, les gens passent chaque jour
Ils rient et ils s'amusent, ils en oublient sa mort
Personne n'a le mal de lui ou veut son retour
Qu'il est triste d'être mort puisqu'on l'ignore encore
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