Tweet
« Ô Allâh, n’est facile que ce que Tu rends facile et si Tu veux Tu rends ce qui est dure facile ».
L’unique mal que peut faire une maman à son enfant c’est de mourir en le laissant pleurer son chagrin sans elle !
Surmonte-t-on la perte d'une mère qui n'a pas vu grandir ses petits-enfants ?
DIEU a fait que nous sommes tous de passage sur terre.
Tu t'es endormie un 19 octobre et je n’étais pas là,je n’ai pas pu t’embrasser, te dire au revoir ce qui m’a fait beaucoup de peine, j'ai beau en parler, je n'arrive pas à passer cette étape. Ce sont des mots simples mais au sens atroce....Tout passe très vite, trop vite...Aujourd’hui encore sera gris emprunt de douleurs et ton absence sera cruelle.
les mots me manquent, face à ma douleur,la vie nous apprend beaucoup de choses, mais jamais elle ne nous prépare à une perte
Perdre quelqu'un fait mal , très mal, on en guérit pas, mais le destin ne nous laisse aucun choix et parce qu’on les aime, on se doit d’accepter de les voir partir tout en sachant qu’un jour, on sera tous réunis au paradis
J'aimerai savoir quoi dire mais les mots ne suffisent toujours pas.
Je me suis accorder le temps de pleurer pour que mes larmes m’apportent la guérison mais rien n’y fait, mais je garde espoir qu'elle viendra avec le temps.
J’ai passé du temps à me demander quel était mon vrai problème, je ne savais plus qui j’étais tellement ma souffrance était immense , j’ai prié Dieu avec la foi …
Je ne comprenais plus les gens, et les gens ne me comprenaient non plus. Ça fait mal, mais dans mon désespoir, dieu a mis sur mon chemin deux personnes qui se reconnaîtront qui m’ont beaucoup aidée en m’écoutant , je voudrais les remercier du fond du cœur !
Déjà presque an passé, 11mois, je suis retournée à la maison avec l’espoir de te retrouver,j’étais angoissée, effrayée, mais une voix intérieur me parlait, je devais y aller, j’étais pleins de projets ! Je suis arrivée les mains moites, la boule à la gorge, mes pieds ne me portaient plus, je suis allée directement à ta chambre, dans un état second, sans pouvoir prononcer quoi que ce soit,
j’appréhendais et j’espérais, c’était comme un aimant qui m’attirait, hélas,au bout ; un silence qui hurle; tu n’y étais pas, rien n’avait changé, ou plutôt tout, ta place était vide, ta chaise, je ne te voyais pas, mais je te sentais ! tout respirait ton odeur,l’odeur d’une âme charitable était présente !
C’était horrible, le plus horrible retour ! c'est vraiment difficile. Les mots ne suffisent pas toujours à décrire cette souffrance, cette blessure.
Je ne pouvais resté, j’étais comme possédée, l’endroit ne pouvait plus me contenir, je me suis sentie à nouveau orpheline, j’allais d’un lieu à un autre, la maison ne me disait plus rien !
T u te rends compte maman, pour la 1ere fois de ma vie, ta maison ne pouvait me retenir, ni me contenir, elle m’étouffait !les souvenirs envahissaient mon esprit et je me sentais tourmentée . mes larmes me devançaient, que puis je faire ?
Tu sais maman pendant cette année, le malheur a frappé à beaucoup de portes! Tu dois sûrement le savoir Farida ta rejoint aussi!
Je suis allé sur ta tombe, cherchant le réconfort, te sachant là, juste au dessous et ne pouvant te voir, me rendait folle.je ne cesse de me reprocher de ne pas t’ avoir assez dit, assez montré, assez prouvé mon amour et mon affection .
Je voulais aller à la rencontre de la famille pour évoquer ton souvenir, je n’ai pu aller voir que ta sœur et ton frère ! te cherchant en eux ; mais j’étais déçue.tu n’étais nulle part !
Maman, ma maman,ton absence est un affreux cri dans le silence de mes jours ; ton absence se fait de plus en plus dur.
Malheureusement, la vie continue avec ses joies et ses peines,mais tu n'es plus là ;depuis trop longtemps pour moi, pourtant ce ne sont que 11mois, comment vais je m’y faire ? Sans doute jamais !
Je ne suis plus la même depuis ta mort, il y a toujours un avant et un après, Je me sens seule au monde et en même temps différente. Une flamme s'est éteinte en moi, comme si j'étais un peu morte avec toi. La vie est devenu un combat. Avant je voulais faire carrière, maintenant , je ne pense qu’à mes enfants !
Le temps file à une vitesse incroyable. Hier tu es partie, et tant je souffrais et que je ressentais cette immense peine, tu étais vivante dans mon chagrin tragique et prévisible qui a laissé une cicatrice indélébile dans le cœur , avec le temps qui passe, un an ; quelque chose de cette douleur s'est apaisée et ça me fait d’autant mal, mais tu es dans mon cœur à tout jamais .
Je me dis parfois que même si ma maman est partie vite, brutalement, au moins, elle n'aura pas vécu ce long calvaire qui conduit jusqu'à la mort.
MAIS ; Quelle chance j'ai eu. Je m’en rends compte,tu as été pour moi la maman dont tous les enfants rêvent : celle qui donne, qui partage, qui se sacrifie, et soutient. Une maman extraordinaire, tu prenais soin des autres qu’il s’agisse de proches , de voisins ou de simples rencontres .
Maman , J’ai été dure parfois, bête souvent, même, trop fière, mais tu me voyais si parfaite ! L’amour n’est pas tout fait, tu étais tout l’amour.
Ceux qui pensent que le chagrin a une durée limite, n’ont certainement jamais perdu un bout de leur cœur.Tu me manques Maman , et quand je n'ai pas le moral c'est encore pire car j'y pense encore plus et je m'enfonce encore plus et me voilà plongée dans mes souvenirs, Il suffit de regarder une photo pour avoir les larmes qui montent aux yeux ,des sanglots qui étouffent.
Bien que Je garde en mémoire ton visage ,mais mon cœur t'appelle, te réclame, même si je suis une maman, un an sans toi, sans ta présence, sans te parler, sans ta voix me ronge le cœur,au-delà de ton absence tu es toujours présente dans la prison de mon cœur.
Si je l’avais su que ce jour aurait été la dernière fois, je t’aurais embrasser si fort et prierais Allah pour pouvoir être la gardienne de ton âme .
Je pleure moins , mais je reste muette lorsque, voulant te téléphoner, je me souviens que tu n’es plus là.pour autant,le fil n'est pas coupé entre nous et pourquoi serais tu hors de ma pensée, parce que tu es hors de ma vue? J’ai séché mes larmes certes pour pleurer de l’intérieur et Mon cœur saigne
Je sais que tu n’es pas loin, juste de l'autre côté du BARZAKH alors Tous les jours que dieu fait, j'ai une pensée pour toi, une invocation, un doua
Sans cesser de pleurer,je continue à cueillir les plus petits moments de vie même emprunt d’un goût de cendre, je continue à me tracasser mais je n’abandonne pas ,je n'oublierai pas ta force de vivre
c’est en te regardant te battre que j’ai appris à ne jamais me laisser aller .
Par moment, j’entends des voix, je vois des trucs et je me plais à penser que c'est toi qui m'adresse un signe. Inutile de chercher à savoir, mon cœur est déjà suffisamment lourd de tant de questions sans réponse.
Parce que la vie est pleine de bruit et de fureur, les souvenirs ressurgissent toujours, parfois aux moments les plus inattendus, Il y a du brouillard tout autour de moi, mais il y a encore une réalité cruelle celle que tu n’es plus là, mais Tu sais que tu es avec moi tous les jours, dorénavant, je te porte dans mon cœur, tu me suis telle mon ombre
Je souhaite que les bons souvenirs m'aident à voir plus clair dans la brume de la douleur que je ressens
Repose en paix ma maman et sois certaine de toujours rester vivante en moi.
Qu’Allah bénisse ma maman ,qu' Allah pardonne à ma maman tous ses péchés ;Qu' Allah la préserve de Son châtiment et lui accorde Son magnifique paradis el firdaws
Qu' Allah illumine sa tombe et en fasse un jardin du paradis et l’enveloppe de Sa douce miséricorde ,Amine
Ta fille
L’unique mal que peut faire une maman à son enfant c’est de mourir en le laissant pleurer son chagrin sans elle !
Surmonte-t-on la perte d'une mère qui n'a pas vu grandir ses petits-enfants ?
DIEU a fait que nous sommes tous de passage sur terre.
Tu t'es endormie un 19 octobre et je n’étais pas là,je n’ai pas pu t’embrasser, te dire au revoir ce qui m’a fait beaucoup de peine, j'ai beau en parler, je n'arrive pas à passer cette étape. Ce sont des mots simples mais au sens atroce....Tout passe très vite, trop vite...Aujourd’hui encore sera gris emprunt de douleurs et ton absence sera cruelle.
les mots me manquent, face à ma douleur,la vie nous apprend beaucoup de choses, mais jamais elle ne nous prépare à une perte
Perdre quelqu'un fait mal , très mal, on en guérit pas, mais le destin ne nous laisse aucun choix et parce qu’on les aime, on se doit d’accepter de les voir partir tout en sachant qu’un jour, on sera tous réunis au paradis
J'aimerai savoir quoi dire mais les mots ne suffisent toujours pas.
Je me suis accorder le temps de pleurer pour que mes larmes m’apportent la guérison mais rien n’y fait, mais je garde espoir qu'elle viendra avec le temps.
J’ai passé du temps à me demander quel était mon vrai problème, je ne savais plus qui j’étais tellement ma souffrance était immense , j’ai prié Dieu avec la foi …
Je ne comprenais plus les gens, et les gens ne me comprenaient non plus. Ça fait mal, mais dans mon désespoir, dieu a mis sur mon chemin deux personnes qui se reconnaîtront qui m’ont beaucoup aidée en m’écoutant , je voudrais les remercier du fond du cœur !
Déjà presque an passé, 11mois, je suis retournée à la maison avec l’espoir de te retrouver,j’étais angoissée, effrayée, mais une voix intérieur me parlait, je devais y aller, j’étais pleins de projets ! Je suis arrivée les mains moites, la boule à la gorge, mes pieds ne me portaient plus, je suis allée directement à ta chambre, dans un état second, sans pouvoir prononcer quoi que ce soit,
j’appréhendais et j’espérais, c’était comme un aimant qui m’attirait, hélas,au bout ; un silence qui hurle; tu n’y étais pas, rien n’avait changé, ou plutôt tout, ta place était vide, ta chaise, je ne te voyais pas, mais je te sentais ! tout respirait ton odeur,l’odeur d’une âme charitable était présente !
C’était horrible, le plus horrible retour ! c'est vraiment difficile. Les mots ne suffisent pas toujours à décrire cette souffrance, cette blessure.
Je ne pouvais resté, j’étais comme possédée, l’endroit ne pouvait plus me contenir, je me suis sentie à nouveau orpheline, j’allais d’un lieu à un autre, la maison ne me disait plus rien !
T u te rends compte maman, pour la 1ere fois de ma vie, ta maison ne pouvait me retenir, ni me contenir, elle m’étouffait !les souvenirs envahissaient mon esprit et je me sentais tourmentée . mes larmes me devançaient, que puis je faire ?
Tu sais maman pendant cette année, le malheur a frappé à beaucoup de portes! Tu dois sûrement le savoir Farida ta rejoint aussi!
Je suis allé sur ta tombe, cherchant le réconfort, te sachant là, juste au dessous et ne pouvant te voir, me rendait folle.je ne cesse de me reprocher de ne pas t’ avoir assez dit, assez montré, assez prouvé mon amour et mon affection .
Je voulais aller à la rencontre de la famille pour évoquer ton souvenir, je n’ai pu aller voir que ta sœur et ton frère ! te cherchant en eux ; mais j’étais déçue.tu n’étais nulle part !
Maman, ma maman,ton absence est un affreux cri dans le silence de mes jours ; ton absence se fait de plus en plus dur.
Malheureusement, la vie continue avec ses joies et ses peines,mais tu n'es plus là ;depuis trop longtemps pour moi, pourtant ce ne sont que 11mois, comment vais je m’y faire ? Sans doute jamais !
Je ne suis plus la même depuis ta mort, il y a toujours un avant et un après, Je me sens seule au monde et en même temps différente. Une flamme s'est éteinte en moi, comme si j'étais un peu morte avec toi. La vie est devenu un combat. Avant je voulais faire carrière, maintenant , je ne pense qu’à mes enfants !
Le temps file à une vitesse incroyable. Hier tu es partie, et tant je souffrais et que je ressentais cette immense peine, tu étais vivante dans mon chagrin tragique et prévisible qui a laissé une cicatrice indélébile dans le cœur , avec le temps qui passe, un an ; quelque chose de cette douleur s'est apaisée et ça me fait d’autant mal, mais tu es dans mon cœur à tout jamais .
Je me dis parfois que même si ma maman est partie vite, brutalement, au moins, elle n'aura pas vécu ce long calvaire qui conduit jusqu'à la mort.
MAIS ; Quelle chance j'ai eu. Je m’en rends compte,tu as été pour moi la maman dont tous les enfants rêvent : celle qui donne, qui partage, qui se sacrifie, et soutient. Une maman extraordinaire, tu prenais soin des autres qu’il s’agisse de proches , de voisins ou de simples rencontres .
Maman , J’ai été dure parfois, bête souvent, même, trop fière, mais tu me voyais si parfaite ! L’amour n’est pas tout fait, tu étais tout l’amour.
Ceux qui pensent que le chagrin a une durée limite, n’ont certainement jamais perdu un bout de leur cœur.Tu me manques Maman , et quand je n'ai pas le moral c'est encore pire car j'y pense encore plus et je m'enfonce encore plus et me voilà plongée dans mes souvenirs, Il suffit de regarder une photo pour avoir les larmes qui montent aux yeux ,des sanglots qui étouffent.
Bien que Je garde en mémoire ton visage ,mais mon cœur t'appelle, te réclame, même si je suis une maman, un an sans toi, sans ta présence, sans te parler, sans ta voix me ronge le cœur,au-delà de ton absence tu es toujours présente dans la prison de mon cœur.
Si je l’avais su que ce jour aurait été la dernière fois, je t’aurais embrasser si fort et prierais Allah pour pouvoir être la gardienne de ton âme .
Je pleure moins , mais je reste muette lorsque, voulant te téléphoner, je me souviens que tu n’es plus là.pour autant,le fil n'est pas coupé entre nous et pourquoi serais tu hors de ma pensée, parce que tu es hors de ma vue? J’ai séché mes larmes certes pour pleurer de l’intérieur et Mon cœur saigne
Je sais que tu n’es pas loin, juste de l'autre côté du BARZAKH alors Tous les jours que dieu fait, j'ai une pensée pour toi, une invocation, un doua
Sans cesser de pleurer,je continue à cueillir les plus petits moments de vie même emprunt d’un goût de cendre, je continue à me tracasser mais je n’abandonne pas ,je n'oublierai pas ta force de vivre
c’est en te regardant te battre que j’ai appris à ne jamais me laisser aller .
Par moment, j’entends des voix, je vois des trucs et je me plais à penser que c'est toi qui m'adresse un signe. Inutile de chercher à savoir, mon cœur est déjà suffisamment lourd de tant de questions sans réponse.
Parce que la vie est pleine de bruit et de fureur, les souvenirs ressurgissent toujours, parfois aux moments les plus inattendus, Il y a du brouillard tout autour de moi, mais il y a encore une réalité cruelle celle que tu n’es plus là, mais Tu sais que tu es avec moi tous les jours, dorénavant, je te porte dans mon cœur, tu me suis telle mon ombre
Je souhaite que les bons souvenirs m'aident à voir plus clair dans la brume de la douleur que je ressens
Repose en paix ma maman et sois certaine de toujours rester vivante en moi.
Qu’Allah bénisse ma maman ,qu' Allah pardonne à ma maman tous ses péchés ;Qu' Allah la préserve de Son châtiment et lui accorde Son magnifique paradis el firdaws
Qu' Allah illumine sa tombe et en fasse un jardin du paradis et l’enveloppe de Sa douce miséricorde ,Amine
Ta fille
Commentaire