les coquelicots dansent
au rythme de la douceur du vent
leurs pétales rougeâtres ondulent
tels une plume volant
entre les nuages
leurs coeurs noirâtre s'émoustillent
sous les ailes des abeilles
le soleil caresse chaque fleur
laissant les papillons flirter
autour de la tige
ils tournoient dans une danse folle
rencontrent un pistil
les couleurs pastelles dessinent une mer nature
telles des vagues soulignant le ciel
les nuages habillant l'horizon
un vol d'oiseaux embellit ce paysage
fragile à la merci de celui
qui ne le respecte plus
et pourtant sans lui nous ne sommes
absolument rien
d'une traite nous détruisons
saccageons ce que la terre s'efforce
de nous offrir, nous présente sur un plateau
d avenir le passé usé
notre toile périt au fur à mesure du temps
elle se meurt
et nous nous continuons à détruire
comme des charognes dévorant
le reste d'une proie
agonisant notre soif de destruction
applaudissant notre bêtise
notre reflet n'est que désespoir
notre soi disant intelligence est notre plus
cruelle ennemie
belle, vagabonde nous encourage dans
le gouffre de notre déraison
nous sommes totalement perdus
dispersés
prenons le temps d'écouter la terre
sans elle nous ne sommes absolument rien
perdus dans le néant de l'univers
Mon Dieu
pardonne nous
nous n'avons encore rien compris....
et pourtant...
lily le 3 décembre 2016
au rythme de la douceur du vent
leurs pétales rougeâtres ondulent
tels une plume volant
entre les nuages
leurs coeurs noirâtre s'émoustillent
sous les ailes des abeilles
le soleil caresse chaque fleur
laissant les papillons flirter
autour de la tige
ils tournoient dans une danse folle
rencontrent un pistil
les couleurs pastelles dessinent une mer nature
telles des vagues soulignant le ciel
les nuages habillant l'horizon
un vol d'oiseaux embellit ce paysage
fragile à la merci de celui
qui ne le respecte plus
et pourtant sans lui nous ne sommes
absolument rien
d'une traite nous détruisons
saccageons ce que la terre s'efforce
de nous offrir, nous présente sur un plateau
d avenir le passé usé
notre toile périt au fur à mesure du temps
elle se meurt
et nous nous continuons à détruire
comme des charognes dévorant
le reste d'une proie
agonisant notre soif de destruction
applaudissant notre bêtise
notre reflet n'est que désespoir
notre soi disant intelligence est notre plus
cruelle ennemie
belle, vagabonde nous encourage dans
le gouffre de notre déraison
nous sommes totalement perdus
dispersés
prenons le temps d'écouter la terre
sans elle nous ne sommes absolument rien
perdus dans le néant de l'univers
Mon Dieu
pardonne nous
nous n'avons encore rien compris....
et pourtant...
lily le 3 décembre 2016

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