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Poudre !
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c'est un plaisir de te lire may
Et si le printemps n'existait pas ?
Et si c'était une de ces illusions
dont tu te gave depuis longtemps?
Et si ton soleil à toi était ailleurs ..
bien loin du mien ..?
Et si .. et si ..
Jamais de certitude .. Jamais ..
Je me demande ..
j'hésite ..
et si je devais mourir de ce mal ..Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire
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Tu dis, poudre du Bonheur ???
Non, dans ta souffrance,
tu es à la fois la victime et le bourreau,
la plaie et le couteau ....
Poudre de l'illusion et du malheur ???
Oui, plaisir et souffrances à la fois
Galères et angoisses tout le temps...
Trouve vite la porte de sortie...
Urgence, il y a ?
Oh que oui..
plus tard, tu remercieras ton amie.
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...je continue
3 heures du mat’ tes en crise
plus rien ne te maîtrise
tu tiens ce flingue dans tes main
je ne comprend rien
de cet arme pointé sur moi
de ce que tu dis…de mon effroi
« donne la moi, je répond plus de rien »
Tes yeux sont vide, les sueurs sur ton front
Des heures pour mo,i en vrai que des secondes
Tout va si vite, je n éprouve rien..
Contre ta tempe va ta main
« fais pas ça ça sert a rien «
Ces mots qui sortent de ma bouche
Quand d autres pensées me touchent
‘Que ce soit ce flingue ou ta came
la fin est proche c est certains..’
Et puis il est arrivé
Par terre il te la jeté
Ta came qui nous a bouzillé
Toutes ses années
a me retrouver la tête claqué
Parce que t étais un drogué
C est loin mais c est ancré
Même si aujourd’hui tu t es sevré
T as jamais oublié
Que c est ta mère qui t as sauvé
Quand elle a signé
Ce bout de papier
"Majeur mais pas vacciné "
Contre cette satané..
Elle a signé pour te faire interner
et c est ce qui t as réveillé
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grain de beauté de quartier!
il était beau
il était fort
toutes les filles
pleuraient sur son passage
elles rêvaient de lui en cachette
il savait et s'en amusait
cela ne l'interessait pas
une seule a compté dans sa vie!
il était comme un pacha
tellement sur de lui!
Il claquait des doigts
et tout venait a lui!
elle c'est réveillée
sans faire de bruit
il ne l'a point vu arrivée
elle était là l'épiant comme
une bombe a retardement
bavant, sans la moindre
hésitation comme un chatiment
lui a présentée
celle qui l'a prit dans son lit
celle qui l'a rendu fou
elle a réussi a lui voler sa joie de vivre
à faire fuire celle qui l'aimait
à faire pleurer et souffrir
ceux qui l'entouraient
a faire creuver l'amour
qu'il portait!
il en a perdu ses moyens
il n'etait plus rien !
tout seul comme une furie
il souffrait sa dépendance
lui le marginal
il avait mal!
comme un animal
gémissant, suppliant
"Celui" qui cachait
celle qui a détruit
son petit garçon!
ce grain de beauté
de quartier
il l'a cher payé!
sa puissance, son arogance,
son inttelligence!
tout cela parcequ'il
était jalousé !
lily
la diablesse !!
maysarah, je pleure ma haine !!!!griffer ma feuille est mon plus bel amour plus elle souffre plus je me sens vivante!
lily
la diablesse!
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Toi.....
Vous m'avez sauvé,
De l'enfer que je me suis créé,
Comment en suis je arrivé là?
Ca m'a entrainé comme ça,
Mais aujourd'hui,
C'est le présent qui compte,
Celui que je me construit
comme l'on bâtit ne maison,
pierre par pierre, je me suis fait une raison,
Ce décembre 94 m'est resté gravé dans la peau,
je revois encore la peur dans tes yeux,
les yeux, eux ne mentent pas,
Le passé me suit comme mon ombre,
Pardonne moi pour tout le mal engendré,
Dis le moi, il me le faut entendre!
Aide moi à gravir ce chemin,
Pour de meilleurs lendemain,
Si un jour, on m'avait dit que je me confierais,
je ne l'aurais cru..."La femme est le calme et l’apaisement de l’homme, elle est sa conjointe, la mère de ses enfants, l’endroit périlleux de son coeur et la clef de ses secrets"
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c est moi qui lui dit merci
d avoir dit ces choses la
qui font si mal
cette putain de verité
ces gens qui l ont bouzillé
il etait si fort
c etait un maitre
ils me l ont prit
ils me l ont aneantis
merci d avoir continué merci pour ces mots pour lui
merci ma lily
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maysarah
j'aime beaucoup ton texte
tu nous l'a ecrit mais en fait tu te parles a toi meme!
si je savais ecrir comme toi , je t'auré repondu quelque chose de bien beau , bien profond et tout , mais chui pas douée pour ça!!!
tout ce que je peux dire ,c'est :
c pas ta faute !Reine de Saba
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la femme au parfum pourdré!
je partage mon texte que j'ai écris pour "LUI" " graind de beauté de quartier" a tous ceux qui ont eu un pote , un frère , un cousin etc...
ayant rencontré :"la femme au parfum pourdré" !!!
lily
la diablesse !griffer ma feuille est mon plus bel amour plus elle souffre plus je me sens vivante!
lily
la diablesse!
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je ne veux plus rien faire ..
je ne me sens pas de taille ..
je ne me sens plus la force de continuer ..
je vois tout en noir ..
tout est si laid,
tout me dégoûte ..
je ne veux plus ouvrir les yeux,
je ne veux plus rêver,
je ne veux plus dormir …
je ne laisserai pas de chance à ces fantômes,
je n’attends plus qu’une seule chose …
la fin ..
peu importe sous quelle forme ma fin apparaîtra ..
je serais heureux ..
Oui, un jour je serais heureux ..
Lorsque je ne verrai plus rien ..
lorsque s’envolera cet engourdissement ..
je ne suis plus ton fils bien aime..
je ne suis plus rien …
je ne suis plus qu’une ombre parmi tant d’autres et je bats les eaux qui m’emportent .. en vain ..
la barque s’éloigne ..
trop vite ..
vers un rivage qui m’est inconnu ..
Je ne veux pas sombrer ..
je ne veux pas laisser la barque m’emmener ..
mais que dois-je faire ?
Dis-le, moi … toi,
la douce mère qui prétend tout connaître de moi ..
excuse cette méfiance ..
Je n’ai plus confiance en rien …
je ne fais que céder à des sables mouvants …
mais toi, tu pourras peut-être me sauver ..
Toi, …
dois-je te prier ?
Serais-tu la Déesse? Serais-tu l’Espoir ?
je cherche la chaleur de tes paroles rassurantes ..
je cherche ton regard profond et j’y vois mes larmes .. serais-tu mon reflet ou suis-je le tien ?
tu ne méritais pas tant de douleur ..
Tu ne méritais pas un enfant comme moi …
J’aurais tant aimé être ce que je ne suis pas …
ne m’écoute pas … détourne-toi .. continue sans moi .Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire
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