La Maison carrée
Dans la maison carrée on aime arrondir les angles
On s'installe, on palabre, on y dort, on y mange
Dans la maison carrée, on aime les échanges
Qu'ils soient futiles hostiles ou fébriles
On s'informe de comment va le monde
De comment tu vas toi, nous, vous, ils
Dans la maison carrée chacun cultive son jardin
S'exprimant avec débordement et sans contraintes
Et les roses exhalent de leur parfums
Nous supposant vivre dans un monde facile sans astreintes
Comme ces roses qui embaument le jardin
Dans la maison carrée On s'imagine un monde comme nous
Où règne le partage, les voyages, les grands paysages
De grands feux le soir au bord de la plage
Se racontant des histoires à dormir debout
S'échangeant nos rêves un peu fous
Dans la maison carrée trop vite le temps a défilé
Et quand tout ce beau monde s'en est allé
De cette maison carrée, les roses se sont fanés
Tout le monde a pleuré et depuis tout le monde a oublié
Triste solstice d'été en souvenir de cette maison carrée
Pour M.F
Par Arbia
Dans la maison carrée on aime arrondir les angles
On s'installe, on palabre, on y dort, on y mange
Dans la maison carrée, on aime les échanges
Qu'ils soient futiles hostiles ou fébriles
On s'informe de comment va le monde
De comment tu vas toi, nous, vous, ils
Dans la maison carrée chacun cultive son jardin
S'exprimant avec débordement et sans contraintes
Et les roses exhalent de leur parfums
Nous supposant vivre dans un monde facile sans astreintes
Comme ces roses qui embaument le jardin
Dans la maison carrée On s'imagine un monde comme nous
Où règne le partage, les voyages, les grands paysages
De grands feux le soir au bord de la plage
Se racontant des histoires à dormir debout
S'échangeant nos rêves un peu fous
Dans la maison carrée trop vite le temps a défilé
Et quand tout ce beau monde s'en est allé
De cette maison carrée, les roses se sont fanés
Tout le monde a pleuré et depuis tout le monde a oublié
Triste solstice d'été en souvenir de cette maison carrée
Pour M.F
Par Arbia

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