Comme toi ,
J’irais courir sur le sable chaud d’Agadir ,
Je m’émerveillerais devant le sublime du coucher de soleil ,
Du haut de la colline , l’océan à ses pieds , en silence !
Comme toi , je crierais à tue tête ,
Ma joie , mon bonheur ,
Debout sur la barque , les bras en croix , les cheveux au vent ,
Comme pour embrasser l’océan ,
Se fendre dans ses étendues , aller fouiller dans ses entrailles !
Comme toi , je m’endormirais dans le bus , en route vers Essaouira .
Il n’y aura plus ta main me caressant les cheveux ,
Aucune main , ne viendra prendre la mienne , dans mon sommeil !
Tes lèvres ne viendront pas se poser sur mon front ,
Un doux baiser , pour me réveiller !
Comme toi , je redonnerais des ailes à ces enfants ,
Circoncits dés leur plus jeune âge , ne sachant plus voler !
Je leur confectionnerai des ailes si larges , si belles ,
Qu’ils ne voudront plus redescendre sur terre ,
Ils trouveront chez les oiseaux cette amitié ,
La vraie , que les Hommes leur auront refusée !
J’irais dire bonjour à cette vieille dame du souk de Marrakech ,
Je contemplerai son art de travailler la laine , en silence !
J’admirerai , seul sa beauté encore vivante !
Elle me rappellera à toi , je le sais !
Je voulais tant revivre ces moments ,
Avec toi , sans toi !
Saïd , feb 18
J’irais courir sur le sable chaud d’Agadir ,
Je m’émerveillerais devant le sublime du coucher de soleil ,
Du haut de la colline , l’océan à ses pieds , en silence !
Comme toi , je crierais à tue tête ,
Ma joie , mon bonheur ,
Debout sur la barque , les bras en croix , les cheveux au vent ,
Comme pour embrasser l’océan ,
Se fendre dans ses étendues , aller fouiller dans ses entrailles !
Comme toi , je m’endormirais dans le bus , en route vers Essaouira .
Il n’y aura plus ta main me caressant les cheveux ,
Aucune main , ne viendra prendre la mienne , dans mon sommeil !
Tes lèvres ne viendront pas se poser sur mon front ,
Un doux baiser , pour me réveiller !
Comme toi , je redonnerais des ailes à ces enfants ,
Circoncits dés leur plus jeune âge , ne sachant plus voler !
Je leur confectionnerai des ailes si larges , si belles ,
Qu’ils ne voudront plus redescendre sur terre ,
Ils trouveront chez les oiseaux cette amitié ,
La vraie , que les Hommes leur auront refusée !
J’irais dire bonjour à cette vieille dame du souk de Marrakech ,
Je contemplerai son art de travailler la laine , en silence !
J’admirerai , seul sa beauté encore vivante !
Elle me rappellera à toi , je le sais !
Je voulais tant revivre ces moments ,
Avec toi , sans toi !
Saïd , feb 18
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