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Le bel amour
				
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 L'histoire d'un homme qui se prenait pour Robin des Bois..
 Une belle femme s'était rendu à son fief, parmi ses gardes..
 Mais la peur l'avait empêché de descendre de son arbre..
 Du coup, bien des regrets !
 L'espoir fait vivre.. dit-on 
 
 
 Cadeau pour Monrefuge..
 Bienvenue à toi.. à la rue des perles  
 
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 Posté par Capo :
 
 "Cadeau pour Monrefuge..
 Bienvenue à toi.. à la rue des perles
 
 Bonjour Capo,
 
 Que dire devant un tel Cadeau ?? Rien, le silence est parlant...MerciTuer ce monstre le temps, n'est-ce pas l'occupation la plus ordinaire et la plus légitime de chacun ?
 Charles Baudelaire ; Le spleen de Paris, Le galant tireur (posthume, 1869)
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 Pour Capo
 
 Le silence empêché
 
 Le silence,
 
 le monde du silence,
 
 le silence de la vie,
 le silence des mots,
 le silence silencieux,
 
 le silence à contre sens,
 le silence tout seul,
 le silence sans couleur,
 le silence lancinant,
 
 le vide du silence,
 
 le silence des présences,
 le silence des absences,
 le silence en souffrance,
 
 le cœur du silence,
 
 le silence en arrêt,
 le silence gelé,
 le silence condamné,
 le silence désespéré,
 
 la mort du silence,
 
 le silence en partage,
 le silence ponctué,
 le silence égaré,
 le silence en voyage.
 
  Tuer ce monstre le temps, n'est-ce pas l'occupation la plus ordinaire et la plus légitime de chacun ? Tuer ce monstre le temps, n'est-ce pas l'occupation la plus ordinaire et la plus légitime de chacun ?
 Charles Baudelaire ; Le spleen de Paris, Le galant tireur (posthume, 1869)
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 Il y a des écrits ici dans la rue des perles qui vous accrochent et vous émeuvent. C'est le cas des deux textes ici postés.
 
 Bravo à vous deux !
 Vous êtes entrain de faire revivre la rue des perles telle qu'elle a été decrite par Zacmako ici:
 
 
 En tous les cas, c'est un vrai délice et un pur plaisir que de vous lire.
 On en redemande !
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 Citation
 
 SADOUDA : Il y a des écrits ici dans la rue des perles qui vous accrochent et vous émeuvent. C'est le cas des deux textes ici postés.
 
 Bravo à vous deux !
 Vous êtes entrain de faire revivre la rue des perles telle qu'elle a été decrite par Zacmako ici:
 
 
 En tous les cas, c'est un vrai délice et un pur plaisir que de vous lire.
 On en redemande !
 
 Merci pour vos mots qui me vont droit au coeur
 
 Merci CapoTuer ce monstre le temps, n'est-ce pas l'occupation la plus ordinaire et la plus légitime de chacun ?
 Charles Baudelaire ; Le spleen de Paris, Le galant tireur (posthume, 1869)
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 Merci à toi Monrefuge..
 
 Merci de me ramener à mes plus belles années spirituelles..
 A l'époque j'avais réorchestré non pas seulement "Le plat pays" de Jacques Brel, mais aussi "Ne me quitte pas" , "Amsterdam", "La valse à mille temps" et plein d'autres... hélas, un disque dur défectueux m'ayant joué un sale tour, il ne me reste que quelques bribes de vers en mémoire... J'ai eu beau écrire à tous mes amis et correspondants, les implorant de me restituer ne serait-ce, par chance, qu'un écrit.. mais nul n'avait jugé utile de lire mes proses.. alors là les sauvegarder 
 
 
 Pour Sadouda.. qui en demandait encore.. voici quelques vagues qui me reviennent d'Amsterdam 
 
 
 Dans les bras de Notre-Dame
 Y a un homme qui s’affaisse
 Le cœur tout en pièces
 Oubliant ses états d’âme
 
 Dans les bras de Notre-Dame
 Y a un corps qu’on dorlote
 Un enfant qui sanglote
 Et que nul ne réclame
 
 Dans les bras de Notre-Dame
 Y a une dépouille qui pèse
 Qu’on repose sur la glaise
 Sans formules de blâme
 
 Dans les bras de Notre-Dame
 Y a un corps qui s'allonge
 La conscience qui le ronge
 Des remords ruisselants
 Il vous crie l'amertume
 A dénoyauter la pierre
 A sécher les rivières
 Comme il en est de coutume
 Et ça pleure en abondance
 Jusqu'au dernier des barils
 Une vie partie en vrille
 Dans le parfait des silence
 Côtoyant le vacarme
 Inédit des sentinelles
 Du haut des chapelle
 Que la bonté n'incarne
 
 
 Le reste du poème .. alzheimer oeilfermé
 
 (2013)
 
 .Dernière modification par Invité, 30 octobre 2017, 09h36.
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 Capo :
 
 Merci de ramener à plus belles années spirituelles..
 A l'époque j'avais réorchestré non pas seulement "Le plat pays" de Jacques Brel, mais aussi "Ne me quitte pas" , "Amsterdam", "La valse à mille temps" et plein d'autres... hélas, un disque dur défectueux m'ayant joué un sale tour, il ne me reste que quelques bribes de vers en mémoire... J'ai eu beau écrire à tous mes amis et correspondants, les implorant de me restituer, ne serait-ce par chance qu'un écrit.. mais nul n'avait jugé utile de lire mes proses.. alors là les sauvegarder
 
 
 Tu peux peut être réorchestrer " Ah, je les vois déjà " de J. Brel..?
 
 Ah, je les vois déjà
 Me couvrant de baisers
 Et s'arrachant mes mains
 Et demandant tout bas
 "Est-ce que la mort s'en vient?
 Est-ce que la mort s'en va?
 Est-ce qu'il est encore chaud?
 Est-ce qu'il est déjà froid?"
 Ils ouvrent mes armoires
 Ils tâtent mes faïences
 Ils fouillent mes tiroirs
 Se régalant d'avance
 De mes lettres d'amour
 Enrubannées par deux
 Qu'ils liront près du feu
 En riant aux éclats
 Ah, ah, ah, ah, ah, ah
 Ah, je les vois déjà
 Compassés et frileux
 Suivant comme des artistes
 Mon costume de bois
 Ils se poussent du cœur
 Pour être le plus triste
 Ils se poussent du bras
 Pour être le premier
 Z'ont amené des vieilles
 Qui ne me connaissaient plus
 Z'ont amené des enfants
 Qui ne me connaissaient pas
 Pensent au prix des fleurs
 Et trouvent indécent
 De ne pas mourir au printemps
 Quand on aime le lilas
 Ah, ah, ah, ah, ah, ah
 Ah, je les vois déjà
 Tous mes chers faux amis
 Souriant sous le poids
 Du devoir accompli
 Ah, je te vois déjà
 Trop triste, trop à l'aise
 Protégeant sous le drap
 Tes larmes lyonnaises
 Tu ne sais même pas
 Sortant de mon cimetière
 Que tu entres en ton enfer
 Quand s'accroche à ton bras
 Le bras de ton quelconque
 Le bras de ton dernier
 Qui te fera pleurer
 Bien autrement que moi
 Ah, ah, ah, ah, ah, ah
 Ah, je me vois déjà
 M'installant à jamais
 Bien au triste, bien au froid
 Dans mon champ d'osselets
 Ah, je me vois déjà
 Je me vois tout au bout
 De ce voyage-là
 D'où l'on revient de tout
 Je vois déjà tout ça
 Et l'on a le brave culot
 D'oser me demander
 De n'plus boire que de l'eau
 De n'plus trousser les filles
 De mettre d'l'argent d'côté
 D'aimer l'filet d'maquereau
 Et d'crier, "Vive le roi!"
 Ah, ah, ah, ah, ah, ahTuer ce monstre le temps, n'est-ce pas l'occupation la plus ordinaire et la plus légitime de chacun ?
 Charles Baudelaire ; Le spleen de Paris, Le galant tireur (posthume, 1869)
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 Une parcelle de "ne me quitte pas" revisitée dans le désordre pour m’échauffer oeilfermé
 
 
 On a vu souvent
 Resurgir le gueux
 De l'ancien roman
 Qu'on dit poussiéreux
 Il est parait-il
 Des hommes affligés
 Donnant plus de rimes
 Qu'un meilleur artiste
 Et quand vient l'aurore
 Pour que ciel l'honore
 La plume et le gueux
 Ne vous étonnent-ils pas
 Ne me lisez pas
 Ne me lisez pas
 Ne me lisez pas
 
 Je vous parlerais
 De cette nuit là
 Où j'ai vu un cœur
 S’entre-déchirer
 
 Je vous raconterais
 L'histoire d'un fou
 Et d'un rêve
 N'ayant pu l'approcher
 
 Laissez moi devenir
 Ce que je suis
 Ce que je fais
 Mais
 Ne me lisez pas
 Ne me lisez pas
 Ne me lisez pas
 
 
 Dernière modification par Invité, 30 octobre 2017, 09h37.
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 Ne me lisez pas disais-je  
 
 Il est des matins qui nous côtoie avec le bien joli verbe..
 Quelle langue de vipère me prend ?
 Et quel esprit malsain me possède ?
 A moi le vermifuge.. et vite !
 
 Renversement de situation donc..
 Je ne me médirais point..
 Je change de thème..
 Je serais un roi
 Et vous l'arène  
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 Citation , par Capo :
 
 " Je serais un roi
 Et vous l'arène "
 
 L'arène ? ou la Reine ?Tuer ce monstre le temps, n'est-ce pas l'occupation la plus ordinaire et la plus légitime de chacun ?
 Charles Baudelaire ; Le spleen de Paris, Le galant tireur (posthume, 1869)
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