...
Eh bien dites donc, chapeau, ça coiffe intensément sur le poteau ou ça brosse à gogo sur le tableau tout ça...
Pour le côté raser, soyons clair)e dès à présent et dès que possible, car c'est sans doute le manque d'humanité qui se profile, et se profilera, à tire-larigot et dans toutes leurs matières, au plus près des murs, comme tout autre sens ou toute autre raison qui donne ou pousse ou délègue à l'ambiance ou l'atmosphère de ne cesser de s'élever contre les bons partages des cimes intellectuelles, d'où qu'elles soient,... et personne ici dans les commentaires ne devrait déjà ou encore se sentir concerné)e)s...
Revenons en à "notre" salon... avec ou sans miroir, à qui de voir, dans son couloir Madame Retard se réduit de Monsieur Bizarre, dans le choix de Monsieur Lettre sourit de joie Madame Pâle... ... et des écriteaux, en pagaille sur les panneaux, sur le comptoir cette couronne faite en bataille par des trombones, sans oublier quelques parfums que rien n'arrête ou que tout n'empêche, du plus frais au plus vert, du plus bleu au plus cher, du plus rouge au plus terre,... allez, sans croire que chaque jour elle migre, la nuit ne fait que commencer
merci...
Eh bien dites donc, chapeau, ça coiffe intensément sur le poteau ou ça brosse à gogo sur le tableau tout ça...
Pour le côté raser, soyons clair)e dès à présent et dès que possible, car c'est sans doute le manque d'humanité qui se profile, et se profilera, à tire-larigot et dans toutes leurs matières, au plus près des murs, comme tout autre sens ou toute autre raison qui donne ou pousse ou délègue à l'ambiance ou l'atmosphère de ne cesser de s'élever contre les bons partages des cimes intellectuelles, d'où qu'elles soient,... et personne ici dans les commentaires ne devrait déjà ou encore se sentir concerné)e)s...
Revenons en à "notre" salon... avec ou sans miroir, à qui de voir, dans son couloir Madame Retard se réduit de Monsieur Bizarre, dans le choix de Monsieur Lettre sourit de joie Madame Pâle... ... et des écriteaux, en pagaille sur les panneaux, sur le comptoir cette couronne faite en bataille par des trombones, sans oublier quelques parfums que rien n'arrête ou que tout n'empêche, du plus frais au plus vert, du plus bleu au plus cher, du plus rouge au plus terre,... allez, sans croire que chaque jour elle migre, la nuit ne fait que commencer
merci...
Commentaire