Je t'ai aimé simplement toi
Je l'ai fait avec art et foi à la fois
Je l'ai vu naître d'une conformité et d'un pourquoi
Je l'ai nourri de mes poèmes et d'un peu de moi.
Je t'ai aimé aussitôt tel un dévot
Je ne t'ai connu que dans les flots
De la peur où tu me voyais, ce bateau
Qui te déposera loin de moi; moi cet être sot
J'aurai aimé ta présence, tes poèmes!
J'aurais aimé la vie, ces années de bohème
J'aurais aimé te donner un fils!
J'aurais aimé tout cela, si ce n'était ce maléfice!
Je ne veux aimer personne d'autre,
Tu es le seul qui a la clé, qui l'as perdue
Tu es mort, enterré à coté d'une rose, d'un apôtre
Je suis le souffle de ta mort, sa muse la plus ardue.
Je suis ce que tu ne voulais croire,
Je suis la beauté qui n'a de miroir,
Je suis une toile, un poème qu'on peut boire,
Je suis sensible, c'est ton regret que je veux voir
Dis-moi simplement que tu m'aimais
Pour que je puisse convaincre ma colère armée!
Dis-moi simplement que c'est le temps qui nous a parsemé
Pour que je puisse dormir à coté du passé qui rimait...!
Dis-moi et meurs loin de ma vie!
Dis-moi et je saurais étouffer ton cris!
Je te cherche partout, dans le néant encombré
Je te cherche dans ce passé toujours frais
Je te cherche partout quand je culmine ma ronceraie
Tout ce futur sans toi, toutes ces nuits invertébrées.
Je suis plus que sûre, que tu veux de mes étreintes!
Je suis sûre que tes jours sont amers telle l'absinthe!
Je suis navrée pour toi, je te regrette!
Notre histoire était s belle, mais les belles bougies aussi seront seront éteintes
Frozen
Je l'ai fait avec art et foi à la fois
Je l'ai vu naître d'une conformité et d'un pourquoi
Je l'ai nourri de mes poèmes et d'un peu de moi.
Je t'ai aimé aussitôt tel un dévot
Je ne t'ai connu que dans les flots
De la peur où tu me voyais, ce bateau
Qui te déposera loin de moi; moi cet être sot
J'aurai aimé ta présence, tes poèmes!
J'aurais aimé la vie, ces années de bohème
J'aurais aimé te donner un fils!
J'aurais aimé tout cela, si ce n'était ce maléfice!
Je ne veux aimer personne d'autre,
Tu es le seul qui a la clé, qui l'as perdue
Tu es mort, enterré à coté d'une rose, d'un apôtre
Je suis le souffle de ta mort, sa muse la plus ardue.
Je suis ce que tu ne voulais croire,
Je suis la beauté qui n'a de miroir,
Je suis une toile, un poème qu'on peut boire,
Je suis sensible, c'est ton regret que je veux voir
Dis-moi simplement que tu m'aimais
Pour que je puisse convaincre ma colère armée!
Dis-moi simplement que c'est le temps qui nous a parsemé
Pour que je puisse dormir à coté du passé qui rimait...!
Dis-moi et meurs loin de ma vie!
Dis-moi et je saurais étouffer ton cris!
Je te cherche partout, dans le néant encombré
Je te cherche dans ce passé toujours frais
Je te cherche partout quand je culmine ma ronceraie
Tout ce futur sans toi, toutes ces nuits invertébrées.
Je suis plus que sûre, que tu veux de mes étreintes!
Je suis sûre que tes jours sont amers telle l'absinthe!
Je suis navrée pour toi, je te regrette!
Notre histoire était s belle, mais les belles bougies aussi seront seront éteintes
Frozen
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