Un jeudi , pas n’importe lequel ,
Un matin , où le réveil est dur ,
Ouvrir l’œil , devient un exercice périlleux ,
Des conséquences , que l’on ose à peine imaginer !
Non ! Vite un drap , une couette , un chiffon ,
Qu’importe , il faut se couvrir !
Fermer les yeux , appuyer de toutes ses forces ,
Ne rien voir , ni être , ni objet !
Ne pas être vu .
Un mercredi des cendres , désormais entré dans la mémoire !
Un jour , une nuit marqués à jamais ,
De l’estampille , que je n’aurais qu’un instant ,
Que je ne veux plus revoir !
Non , éteignez –moi cette lumière !
Vite , fermez cette porte !
Ne rien voir , ni être , ni objet !
Un défilé dans la joie et l’allégresse générale ,
Bardé de clochettes , de chiffons bariolés ,
Des kilomètres de marche , sous le froid célèbre de Furtwangen ,
La fanfare municipale , heureusement était là , assurant le bon rythme !
Nous étions là à chanter en cœur ,
A sauter , à danser au rythme des tambours !
Le défilé tirait à sa fin ,
Le vin chaud que tout le monde attendait ,
Nous narguait à des kilométres !
Le dernier virage , dans la petite ruelle , et un paysage magnifique !
La forêt noire était couverte d’un superbe manteau blanc ,
Une multitude d’orifices sur les toits ,
Une fumée épaisse s’en évadait !
Vers le froid du ciel , bleu en ce mois de février !
Tout voir , ne rien rater de ces paysages magnifiques !
Ouvrez les yeux , ouvrez vos cœurs ,
Admirez cette noire forêt , recouverte de son plus bel apparat !
N’ayez d’yeux que pour ces êtres joyeux ,
Saïd mar 15 th
Un matin , où le réveil est dur ,
Ouvrir l’œil , devient un exercice périlleux ,
Des conséquences , que l’on ose à peine imaginer !
Non ! Vite un drap , une couette , un chiffon ,
Qu’importe , il faut se couvrir !
Fermer les yeux , appuyer de toutes ses forces ,
Ne rien voir , ni être , ni objet !
Ne pas être vu .
Un mercredi des cendres , désormais entré dans la mémoire !
Un jour , une nuit marqués à jamais ,
De l’estampille , que je n’aurais qu’un instant ,
Que je ne veux plus revoir !
Non , éteignez –moi cette lumière !
Vite , fermez cette porte !
Ne rien voir , ni être , ni objet !
Un défilé dans la joie et l’allégresse générale ,
Bardé de clochettes , de chiffons bariolés ,
Des kilomètres de marche , sous le froid célèbre de Furtwangen ,
La fanfare municipale , heureusement était là , assurant le bon rythme !
Nous étions là à chanter en cœur ,
A sauter , à danser au rythme des tambours !
Le défilé tirait à sa fin ,
Le vin chaud que tout le monde attendait ,
Nous narguait à des kilométres !
Le dernier virage , dans la petite ruelle , et un paysage magnifique !
La forêt noire était couverte d’un superbe manteau blanc ,
Une multitude d’orifices sur les toits ,
Une fumée épaisse s’en évadait !
Vers le froid du ciel , bleu en ce mois de février !
Tout voir , ne rien rater de ces paysages magnifiques !
Ouvrez les yeux , ouvrez vos cœurs ,
Admirez cette noire forêt , recouverte de son plus bel apparat !
N’ayez d’yeux que pour ces êtres joyeux ,
Saïd mar 15 th
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