Si la terre était un tableau,
Je prendrais mes plus beaux pinceaux
Et les tremperais dans mon coeur
Pour y redonner des couleurs.
Je couvrirais le gris de la maladie
Par l’éclatant blanc de la vie
Et je remplacerais le noir
Par le vert, couleur de l’espoir.
Bien sur, j’en laisserais un peu
Pour les nuits des amoureux.
Quant au rouge, j’en mettrais partout
Car les enfants l’aiment beaucoup.
J’en peindrais le nez des gens pour qu’ils soient moins sérieux
Et à tous, je mettrais de l’or au fond des yeux.
Évidemment, tout cela sort de l’imagination,
Mais dans notre coeur, on a tous des pinceaux et des crayons,
Pour colorer notre univers.
Auteur inconnu
Je prendrais mes plus beaux pinceaux
Et les tremperais dans mon coeur
Pour y redonner des couleurs.
Je couvrirais le gris de la maladie
Par l’éclatant blanc de la vie
Et je remplacerais le noir
Par le vert, couleur de l’espoir.
Bien sur, j’en laisserais un peu
Pour les nuits des amoureux.
Quant au rouge, j’en mettrais partout
Car les enfants l’aiment beaucoup.
J’en peindrais le nez des gens pour qu’ils soient moins sérieux
Et à tous, je mettrais de l’or au fond des yeux.
Évidemment, tout cela sort de l’imagination,
Mais dans notre coeur, on a tous des pinceaux et des crayons,
Pour colorer notre univers.
Auteur inconnu
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