C’était un petit enfant
Même pas grand
Haut comme trois pommes
Son pays était toujours en guerre
Il ne voyait pas de lumière
Que des éclairs d’obus
Des tirs de mortiers
Des bombes qui mutilaient
Des pleurs et des sanglots le berçaient
La nuit était son seul reflet
Noir noir était son rivage
Sa pauvre mère avait disparue
Son père combattait au loin
Il était seul sur cette maudite terre
qui l’enterrait vivant
Que du sang
du sang
des paroles de haines
la peine pour horizon
Et puis un beau jour
La brume s’est levée
Il a trouvé la clé qui le libèrerait
De ces maux là
Il pouvait
Rêver.
Imaginer
Penser.
Bâtir
Construire.
Alors il embarqua
Des collines vertes à perte de vue
Un ciel bleu horizon
Une mère au regard tranquille
L’attendait
Ah ! ce rire critallin et ce regard coquin
Cette main si douce qui lui caressait la joue
Et lui haut comme trois pommes
Devint le bâtisseur de rêves et d’espoirs.
Quand un chagrin était trop lourd
Il cherchait au fond de son cœur
Son remède
Il savait que la vie n’était pas
Faite que de sangs
De larmes
De malheur
De destruction sans raison
Il se battra pour changer cela.
Qu’importe le temps que cela prendra
Après tout il n’était qu’un tout petit bonhomme
Haut comme trois pommes
Mais c’est sûr il y arrivera.
morjane
09/07/07
Même pas grand
Haut comme trois pommes
Son pays était toujours en guerre
Il ne voyait pas de lumière
Que des éclairs d’obus
Des tirs de mortiers
Des bombes qui mutilaient
Des pleurs et des sanglots le berçaient
La nuit était son seul reflet
Noir noir était son rivage
Sa pauvre mère avait disparue
Son père combattait au loin
Il était seul sur cette maudite terre
qui l’enterrait vivant
Que du sang
du sang
des paroles de haines
la peine pour horizon
Et puis un beau jour
La brume s’est levée
Il a trouvé la clé qui le libèrerait
De ces maux là
Il pouvait
Rêver.
Imaginer
Penser.
Bâtir
Construire.
Alors il embarqua
Des collines vertes à perte de vue
Un ciel bleu horizon
Une mère au regard tranquille
L’attendait
Ah ! ce rire critallin et ce regard coquin
Cette main si douce qui lui caressait la joue
Et lui haut comme trois pommes
Devint le bâtisseur de rêves et d’espoirs.
Quand un chagrin était trop lourd
Il cherchait au fond de son cœur
Son remède
Il savait que la vie n’était pas
Faite que de sangs
De larmes
De malheur
De destruction sans raison
Il se battra pour changer cela.
Qu’importe le temps que cela prendra
Après tout il n’était qu’un tout petit bonhomme
Haut comme trois pommes
Mais c’est sûr il y arrivera.
morjane
09/07/07
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