On s’est dit trop de mots bleus, trop
De mot doux et un de trop !
Nous deux, des soirs et des soirs
Tout au long d’un chemin, on s’est dit
Ces mots du plaisir, des mots à courir
Des ados de trente ans !
Quand je regarde ces aveugles d’esprit
Et de vue sombrer dans l’amour qui tue,
Quand je vois tous ces amoureux d’un
Flirt,
Quand je vois tous ces jaloux peiner
D’un rien,
Quand je vois tous ces fidèles
S’aimer en silence,
Je dirais que place au mien il
N’y a point d’enseigne !
Il n’est pas d’amour ce qui fait saigner
Un cœur. Il n’est pas amour celui qui
Se meurt et se noie !
On s’est pourtant tuer d’amour, où es t’il ?
Il est déjà mort qui né d’un rien !
Je griffonne, à perdre l’âme des mots,
Sans échos dispersés dans cet espace contingent
Il est pourtant d’amour de lâcher parfois
Du lest pour gagner du poids, dur
Labeur je sais comme tu le sais bien
C’est ainsi que je décrive l’amour d’un rien.
Samir
De mot doux et un de trop !
Nous deux, des soirs et des soirs
Tout au long d’un chemin, on s’est dit
Ces mots du plaisir, des mots à courir
Des ados de trente ans !
Quand je regarde ces aveugles d’esprit
Et de vue sombrer dans l’amour qui tue,
Quand je vois tous ces amoureux d’un
Flirt,
Quand je vois tous ces jaloux peiner
D’un rien,
Quand je vois tous ces fidèles
S’aimer en silence,
Je dirais que place au mien il
N’y a point d’enseigne !
Il n’est pas d’amour ce qui fait saigner
Un cœur. Il n’est pas amour celui qui
Se meurt et se noie !
On s’est pourtant tuer d’amour, où es t’il ?
Il est déjà mort qui né d’un rien !
Je griffonne, à perdre l’âme des mots,
Sans échos dispersés dans cet espace contingent
Il est pourtant d’amour de lâcher parfois
Du lest pour gagner du poids, dur
Labeur je sais comme tu le sais bien
C’est ainsi que je décrive l’amour d’un rien.
Samir
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