Itij chauffe déjà sa nuque ,
Le regard rivé sur le chemin qui méne à Thala ,
Il attend depuis que les premiers rayons ,
Sur Timzrit ont fait leur apparition ,
Hamou , attend là , assis au pied du même olivier ,
A l’aube de tous les jours qui commencent ,
Depuis des mois , que dis-je plus dun an !
Pendant quelques minutes , il la verra ,
De loin , certes , mais sa voix claire et gaie ,
Dominant celles de toutes les autres femmes ,
La rapproche de lui ,
Ce sont vingt minutes de bonheur intense ,
Un condencé de crispastions , d’envie et de désir ,
Probablement les seules de toute la journée !
Mais déjà , dés que le groupe sera repassé par le même endroit ,
Les cruches et les seaux pleins d’eau ,
Et passées l’extase des vingt minutes ,
Il se réjouissait du prochain aube ,
Il allait revoir , entendre de nouveau la voix de Nouara !
Ecris , aprés mon retour du bled, en juillet dernier !
Le regard rivé sur le chemin qui méne à Thala ,
Il attend depuis que les premiers rayons ,
Sur Timzrit ont fait leur apparition ,
Hamou , attend là , assis au pied du même olivier ,
A l’aube de tous les jours qui commencent ,
Depuis des mois , que dis-je plus dun an !
Pendant quelques minutes , il la verra ,
De loin , certes , mais sa voix claire et gaie ,
Dominant celles de toutes les autres femmes ,
La rapproche de lui ,
Ce sont vingt minutes de bonheur intense ,
Un condencé de crispastions , d’envie et de désir ,
Probablement les seules de toute la journée !
Mais déjà , dés que le groupe sera repassé par le même endroit ,
Les cruches et les seaux pleins d’eau ,
Et passées l’extase des vingt minutes ,
Il se réjouissait du prochain aube ,
Il allait revoir , entendre de nouveau la voix de Nouara !
Ecris , aprés mon retour du bled, en juillet dernier !
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