Simoun, mon simoun d'enfer
Simoun mon vieux frère
contre qui j'ai des sistres de colère
heyyy la rivière, tu rigolais
tu pissais
je te quitte et quitte
la canicule de tes nombrils
tes eaux noircies, tes vieux os
Soudain, me voilà devenu bordel
devenu chergui
et je perdis mes yeux
Du rose, du rouge, du blanc, des tas de roses, pour des roses de tous les roses, pour toutes les nuances à distinguer ou imaginer, du premier amarilys au parfum osé, au cuivre amère des palmiers qui cassent la lumière du ciel, jusqu'à l'abandon amoureux.
Un siècle auparavant, elle dit:
-En quel temps sommes-nous?
Je la regarde et me dis
-Elle croit déjà à la permanence : elle a dit nous...
Simoun mon vieux frère
contre qui j'ai des sistres de colère
heyyy la rivière, tu rigolais
tu pissais
je te quitte et quitte
la canicule de tes nombrils
tes eaux noircies, tes vieux os
Soudain, me voilà devenu bordel
devenu chergui
et je perdis mes yeux
Du rose, du rouge, du blanc, des tas de roses, pour des roses de tous les roses, pour toutes les nuances à distinguer ou imaginer, du premier amarilys au parfum osé, au cuivre amère des palmiers qui cassent la lumière du ciel, jusqu'à l'abandon amoureux.
Un siècle auparavant, elle dit:
-En quel temps sommes-nous?
Je la regarde et me dis
-Elle croit déjà à la permanence : elle a dit nous...
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