Influencé par la Kabylie,
Cette région du monde toujours en conflit
Car nous sommes des guerriers même si d’amour notre cœur est rempli.
Bercé, pendant ma tendre enfance, par Olive et Tom et Arnold et Willy,
Un petit gamin nourri avec « seksou » et « tchouktchouka » plutôt que des raviolis,
Les personnes étrangères qui ne connaissaient pas notre culture ont beaucoup d’idées préétablies,
Comme par exemple, l’idée que chez nous les gens sont racistes, personnellement, je ne ressens que de la xénophilie.
Certains trouvent que nous parlons d’une façon agressive, c’est peut-être vrai mais nous restons toujours polis.
En tout cas, le paysage est magnifique, elle est belle ma montagne, ce n’est pas Emilie mais qu’est-ce qu’elle est jolie!
Tu peux ne pas aimer mais tu ne pourras certainement pas rester indifférent à sa mélancolie,
L’âme de nos villages brillent de mille feux contrairement à Las Vegas, la ville du délit.
Tizi-Ouzou ou Béjaïa, nos symboles, malgré leurs dégradations, on les aime à la folie.
Nos femmes sont sérieuses, ne donnent pas leurs corps comme sur le trottoirs de New Delhi.
Influencé par « La Colline Oubliée »
Ce film qui raconte la vie de gens si proches de nous, si familiers,
Un peuple que la vie a trop souvent voulu humilié,
De guerre en guerre, on a perdu trop de membres de notre famille par milliers,
« Anaraz wala neqnu », notre devise, alors ne comptez pas sur nous pour plier.
Certains nous font passer pour des mécréants parce que quelques-uns mangent du sanglier,
Mais savent-ils que nous faisons tous des erreurs, la route est longue pour aller au Paradis, il faut en monter des escaliers!
L’union fait la force, nous sommes un peuple, une communauté qui privilégié les intérêts généraux plutôt que particuliers,
Car nous sommes un peuple qui se conjugue au pluriel et non au singulier.
On se défend nous-mêmes, on est soudé, on forme un groupe, nul besoin d’alliés,
Comme les Spartiates, on avance tête levée vers l’horizon, tels des chevaliers avec leurs boucliers.
Toujours les coudes serrés, le visage fermé, une détermination de bélier,
On n’abandonne pas, nous sommes tous des « miss n’tamurt », il faut rester lier.
Nous sommes les gardiens de ce Temple, à nous de montrer que nous resterons les tauliers.
Mais les heures nous sont comptées, le temps passe vite telle la poudre dans le sablier,
C’est le moment de se réveiller, d’assumer et de prouver qu’on est les dignes héritiers de la Kahina et qu’on peut endosser ce tablier.
Cette région du monde toujours en conflit
Car nous sommes des guerriers même si d’amour notre cœur est rempli.
Bercé, pendant ma tendre enfance, par Olive et Tom et Arnold et Willy,
Un petit gamin nourri avec « seksou » et « tchouktchouka » plutôt que des raviolis,
Les personnes étrangères qui ne connaissaient pas notre culture ont beaucoup d’idées préétablies,
Comme par exemple, l’idée que chez nous les gens sont racistes, personnellement, je ne ressens que de la xénophilie.
Certains trouvent que nous parlons d’une façon agressive, c’est peut-être vrai mais nous restons toujours polis.
En tout cas, le paysage est magnifique, elle est belle ma montagne, ce n’est pas Emilie mais qu’est-ce qu’elle est jolie!
Tu peux ne pas aimer mais tu ne pourras certainement pas rester indifférent à sa mélancolie,
L’âme de nos villages brillent de mille feux contrairement à Las Vegas, la ville du délit.
Tizi-Ouzou ou Béjaïa, nos symboles, malgré leurs dégradations, on les aime à la folie.
Nos femmes sont sérieuses, ne donnent pas leurs corps comme sur le trottoirs de New Delhi.
Influencé par « La Colline Oubliée »
Ce film qui raconte la vie de gens si proches de nous, si familiers,
Un peuple que la vie a trop souvent voulu humilié,
De guerre en guerre, on a perdu trop de membres de notre famille par milliers,
« Anaraz wala neqnu », notre devise, alors ne comptez pas sur nous pour plier.
Certains nous font passer pour des mécréants parce que quelques-uns mangent du sanglier,
Mais savent-ils que nous faisons tous des erreurs, la route est longue pour aller au Paradis, il faut en monter des escaliers!
L’union fait la force, nous sommes un peuple, une communauté qui privilégié les intérêts généraux plutôt que particuliers,
Car nous sommes un peuple qui se conjugue au pluriel et non au singulier.
On se défend nous-mêmes, on est soudé, on forme un groupe, nul besoin d’alliés,
Comme les Spartiates, on avance tête levée vers l’horizon, tels des chevaliers avec leurs boucliers.
Toujours les coudes serrés, le visage fermé, une détermination de bélier,
On n’abandonne pas, nous sommes tous des « miss n’tamurt », il faut rester lier.
Nous sommes les gardiens de ce Temple, à nous de montrer que nous resterons les tauliers.
Mais les heures nous sont comptées, le temps passe vite telle la poudre dans le sablier,
C’est le moment de se réveiller, d’assumer et de prouver qu’on est les dignes héritiers de la Kahina et qu’on peut endosser ce tablier.
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