Des fleurs de pacotille en guise de cadeau, des mains
Sordides qui se mêlent aux miennes et de la poussière
Qui pleut aux quatre coins de mon cœur, le paysage
Est gris foncé. Ton regard est indiscernable, je ressens
Ta rage qui s’estampe, tu n’es plus comme avant…
Tes talons aiguilles ne font plus aucun bruit de fond
Et des doigts qui jadis en velours ne savent plus
Jouer aucun refrain. Cette ombre qui me colle toujours
A la peau te fustige à chaque pas…et cette passion qui
Se meurt, je la ressens en toi.
Autrefois, j’aimais en toi tout ; le parfum au jasmin, tes mots
Courts qui en disent long et ton regard plein d’amour quoi que
Tu disais le contraire à tes amies brouillant les pistes !
Combien longue est la liste de tes amies complices,
Elles savent faire les figurines tu sais !
J’aurais aimé ne pas t’avoir de si tôt l’autre soir, mais tu
Etais venue quand même, j’avais cette flamme qui me restait
De toi en te regardant simplement passé…alors que tout
A été prononcé, les sentences de ma vie, il me reste
Qu’à te contempler sans rien.
J’ai toujours voulu t’accorder mes fins soins mais
Tu m’en as toujours privé de prés ou de loin !
Tu étais venue quand même la prudence dans
L’âme comme si j’étais l’enragé du chien, moi
Je ne te souhaite que du bien sinon pourquoi je
T’aurais livré mes secrets là-bas ? Il ne me reste
Qu’à te souhaiter bonne chance avec ton prince,
Mais chasse le doute et la défiance.
Samir
Sordides qui se mêlent aux miennes et de la poussière
Qui pleut aux quatre coins de mon cœur, le paysage
Est gris foncé. Ton regard est indiscernable, je ressens
Ta rage qui s’estampe, tu n’es plus comme avant…
Tes talons aiguilles ne font plus aucun bruit de fond
Et des doigts qui jadis en velours ne savent plus
Jouer aucun refrain. Cette ombre qui me colle toujours
A la peau te fustige à chaque pas…et cette passion qui
Se meurt, je la ressens en toi.
Autrefois, j’aimais en toi tout ; le parfum au jasmin, tes mots
Courts qui en disent long et ton regard plein d’amour quoi que
Tu disais le contraire à tes amies brouillant les pistes !
Combien longue est la liste de tes amies complices,
Elles savent faire les figurines tu sais !
J’aurais aimé ne pas t’avoir de si tôt l’autre soir, mais tu
Etais venue quand même, j’avais cette flamme qui me restait
De toi en te regardant simplement passé…alors que tout
A été prononcé, les sentences de ma vie, il me reste
Qu’à te contempler sans rien.
J’ai toujours voulu t’accorder mes fins soins mais
Tu m’en as toujours privé de prés ou de loin !
Tu étais venue quand même la prudence dans
L’âme comme si j’étais l’enragé du chien, moi
Je ne te souhaite que du bien sinon pourquoi je
T’aurais livré mes secrets là-bas ? Il ne me reste
Qu’à te souhaiter bonne chance avec ton prince,
Mais chasse le doute et la défiance.
Samir
