Peut-être, était-ce qu’un amour furtif
Feu de paille ?
T’ai-je aimé ?
Ou tout juste effleuré
La sensation d’être désiré
Au sein de nos fugaces retrouvailles
Peut-être je ne garde rien de toi
Aucune missive
Ou écriture cursive
Faite de ta main
Autant que mordu
Je ne porte pas la moindre trace de ta morsure
Mais dans mon sang coule à jamais ton venin
Cautérisé
Je ne montre aucune trace de brûlure
Là, ou je peux le jurer
Que à différent endroits, tes doigts
Ont brutalisé ma chaire
Autant que je porte aucune séquelle
Je ne sors pas indemne
De cet amour
De-ci, de-là
Cela dépasse l' entendement
Vos entêtements
Prenez vos logiques
Et cessez vos messes basses
Cela va de soi
Les voix ont leurs muselières
Mon cœur a ses œillères
A tout ère
Ces allées rectilignes
Mènent à toi
Par excellence, tu demeures ma seule héroïne
De-ci, de-là
Avec moi
Ou ennemie jurée
Alliée à tout temps
Ou aliénée
J’aime tes trais clairs
Et ta face obscure
Tes rarissimes accalmies
Ta démence décharnée
J’aime
Ta bouche gorgée d’arsenic
Ton sourire qui détient l’antidote
Tes galéjades
Tes anecdotes
Ton chic
Tes airs embourgeoisés, ta simplicité
Ta robe à crinoline, ton chignon
ET tes cheveux démêlés
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Feu de paille ?
T’ai-je aimé ?
Ou tout juste effleuré
La sensation d’être désiré
Au sein de nos fugaces retrouvailles
Peut-être je ne garde rien de toi
Aucune missive
Ou écriture cursive
Faite de ta main
Autant que mordu
Je ne porte pas la moindre trace de ta morsure
Mais dans mon sang coule à jamais ton venin
Cautérisé
Je ne montre aucune trace de brûlure
Là, ou je peux le jurer
Que à différent endroits, tes doigts
Ont brutalisé ma chaire
Autant que je porte aucune séquelle
Je ne sors pas indemne
De cet amour
De-ci, de-là
Cela dépasse l' entendement
Vos entêtements
Prenez vos logiques
Et cessez vos messes basses
Cela va de soi
Les voix ont leurs muselières
Mon cœur a ses œillères
A tout ère
Ces allées rectilignes
Mènent à toi
Par excellence, tu demeures ma seule héroïne
De-ci, de-là
Avec moi
Ou ennemie jurée
Alliée à tout temps
Ou aliénée
J’aime tes trais clairs
Et ta face obscure
Tes rarissimes accalmies
Ta démence décharnée
J’aime
Ta bouche gorgée d’arsenic
Ton sourire qui détient l’antidote
Tes galéjades
Tes anecdotes
Ton chic
Tes airs embourgeoisés, ta simplicité
Ta robe à crinoline, ton chignon
ET tes cheveux démêlés
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