Tu m’avais dis ne pleure pas,
Que tu n’avais pas peur
Face à cette terreur qu’est la maladie
Quand elle s’incruste dans ta vie.
Je n’ai pas eu le temps de te connaitre
Mais quel être étais tu
Une fée, un ange déposée par la rosée
Quelqu’un que l’on ne peut oublier
Tant déjà tu illuminais par ta sincérité,
ta générosité, ton amour de la vie et ta sagesse.
La clarté de tes mots
Effleuraient la peau
La fragilité de ta vie
A cause de cette maladie
Etait ta résistance.
Tu étais forte et nous si faibles devant tes tourments.
Comment ne pas pleurer devant notre impuissance ?
Maya tu n’es plus là
Plus là pour tes amies sur le forum , plus là pour ta famille
Pour ta maman
Et pourtant tu demeures là si présente à chaque instant.
Tu ne voulais pas que l’on pleure mais que faire face à la douleur
Qui habite encore si fort le cœur
De tes parents, de ta maman ?
Catherine, Je ne saurai pas vous consoler
Car ce gouffre là ne saurait être comblé
Pourriez vous me le pardonner ?
Je ne peux que vous embrasser
Dire que je vous admire toujours
Car jour après jour vous avez affronté la vie
Avec autant de douceur et de générosité
Que Maya savait le faire
Malgré vos pleurs,
Votre douleur et ce chagrin si immense qui revient .
Maya n’est pas morte
Elle scintille dans le cœur de tous ceux qui l’ont aimée
Votre fille était un ange
Elle le demeure pour l’éternité.
morjane
07/01/07
Que tu n’avais pas peur
Face à cette terreur qu’est la maladie
Quand elle s’incruste dans ta vie.
Je n’ai pas eu le temps de te connaitre
Mais quel être étais tu
Une fée, un ange déposée par la rosée
Quelqu’un que l’on ne peut oublier
Tant déjà tu illuminais par ta sincérité,
ta générosité, ton amour de la vie et ta sagesse.
La clarté de tes mots
Effleuraient la peau
La fragilité de ta vie
A cause de cette maladie
Etait ta résistance.
Tu étais forte et nous si faibles devant tes tourments.
Comment ne pas pleurer devant notre impuissance ?
Maya tu n’es plus là
Plus là pour tes amies sur le forum , plus là pour ta famille
Pour ta maman
Et pourtant tu demeures là si présente à chaque instant.
Tu ne voulais pas que l’on pleure mais que faire face à la douleur
Qui habite encore si fort le cœur
De tes parents, de ta maman ?
Catherine, Je ne saurai pas vous consoler
Car ce gouffre là ne saurait être comblé
Pourriez vous me le pardonner ?
Je ne peux que vous embrasser
Dire que je vous admire toujours
Car jour après jour vous avez affronté la vie
Avec autant de douceur et de générosité
Que Maya savait le faire
Malgré vos pleurs,
Votre douleur et ce chagrin si immense qui revient .
Maya n’est pas morte
Elle scintille dans le cœur de tous ceux qui l’ont aimée
Votre fille était un ange
Elle le demeure pour l’éternité.
morjane
07/01/07
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