Tweet
Face à mon âme qui se fait mon guide
Sa voix me dirige pour me permettre le vide
Vidée, je me remplis, sans être pleine mais avide
Envahie d’énergie, emprise incessante et timide
Le temps coule sous mes intimes déclarations
Pour mettre à jour mes armes de prédilection
Emmène-moi là où j’aime me savoir sans défense
Sans états d’âmes, tel les gardiens de la délivrance
Là où toi, tu te perds sans conséquence
Ta peau se fait mon oxygène, ton odeur imprégnée de cannelle
Amants éternels, moitiés fusionnées et charnelles
Hum ! Quel parfum captivant, subtilement dosé
Qui, sous mon souffle s’évapore, me pénètre sans causer
Le moindre désaccord entre nos ardeurs humbles et osées
Une part de chaque être se reconnaît dans nos caprices
Les âmes sœurs se confondent, que le meilleur des liens se tisse
Je nous cite comme pour parler de mille voix
Sans pour autant déranger ce qui s’anime en soi
Si tout se savait d’avance, le mystère n’aurait aucun sens
Goût amer de l’existence, parfois lourd de conséquences
Etre toujours en quête de cet invisible besoin
Qui ne se dévoile qu’à travers nos souhaits conjoints
Je le nomme mon atout, mon manque de toi
Vécu où à vivre, ça ne serait jamais qu’une partie de moi. :1039989653:
:slt:
Sa voix me dirige pour me permettre le vide
Vidée, je me remplis, sans être pleine mais avide
Envahie d’énergie, emprise incessante et timide
Le temps coule sous mes intimes déclarations
Pour mettre à jour mes armes de prédilection
Emmène-moi là où j’aime me savoir sans défense
Sans états d’âmes, tel les gardiens de la délivrance
Là où toi, tu te perds sans conséquence
Ta peau se fait mon oxygène, ton odeur imprégnée de cannelle
Amants éternels, moitiés fusionnées et charnelles
Hum ! Quel parfum captivant, subtilement dosé
Qui, sous mon souffle s’évapore, me pénètre sans causer
Le moindre désaccord entre nos ardeurs humbles et osées
Une part de chaque être se reconnaît dans nos caprices
Les âmes sœurs se confondent, que le meilleur des liens se tisse
Je nous cite comme pour parler de mille voix
Sans pour autant déranger ce qui s’anime en soi
Si tout se savait d’avance, le mystère n’aurait aucun sens
Goût amer de l’existence, parfois lourd de conséquences
Etre toujours en quête de cet invisible besoin
Qui ne se dévoile qu’à travers nos souhaits conjoints
Je le nomme mon atout, mon manque de toi
Vécu où à vivre, ça ne serait jamais qu’une partie de moi. :1039989653:
:slt:
Commentaire