Toi l'infirmière
Je ne te connais pas et pourtant je t'admire
Car tu es toujours là lorsque la vie chavire
Ta présence discrète au cœur de l'hôpital
Fait souvent reculer la douleur et le mal.
Tu combats la souffrance avec persévérance
Et l'on voit de tes mains renaître l'espérance.
Que de sanglots de cris que de maux de soucis
Au cœur de cet enfer par tes soins adoucis
Ton royaume est bâti de râles et de larmes
Et dans ce monde froid, tu n'as pour seules armes
Que la force et l'espoir de ton cœur généreux
Qui apporte la paix à tous les malheureux.
Tu es la confidente aimée des solitaires,
De tous ceux que la vie a rendus grabataires
Tu offres ton sommeil, tu distribues ton temps,
Tu soignes, tu guéris tout en réconfortant.
Tu es la providence au sourire angélique,
Et dans cet univers inodore aseptique
Tu mêles ton parfum aux nuages d'éther
En ajustant la sonde ou bien le cathéter
Lorsque la mort, hélas se montre la plus forte
Et que le sang glacé se fige dans l'aorte
L'amertume et la rage envahissent ton cœur
Qui ne supporte pas que le mal soit vainqueur.
Tu sais que la " Camarade" habite les parages
Et qu'elle peut frapper tous les gens, tous les âges
Et tu pleures parfois quand tombe le rideau
Sur l'inconnu défunt qui va vers le tombeau.
Pourtant lorsque paraît, quand s'éloigne le pire
Une lueur de joie au milieu d'un sourire
Alors modestement tu reçois ce cadeau
Et tu sens beaucoup moins le poids de ton fardeau
Tu me pardonneras infirmière anonyme
Ce " tu " si familier au milieu de la rime
Mais je te connais bien car je t'ai vu souvent
Au cœur de l'hôpital plus sombre qu'un couvent.
Tu n'es pas une star ni même une vedette
Pour louer ton travail, ni radio, ni gazette
Mais laisse-moi te dire avec mes mots ici
Ce que je ne puis taire infirmière Merci.
merci à toute les inirmières du monde
Je ne te connais pas et pourtant je t'admire
Car tu es toujours là lorsque la vie chavire
Ta présence discrète au cœur de l'hôpital
Fait souvent reculer la douleur et le mal.
Tu combats la souffrance avec persévérance
Et l'on voit de tes mains renaître l'espérance.
Que de sanglots de cris que de maux de soucis
Au cœur de cet enfer par tes soins adoucis
Ton royaume est bâti de râles et de larmes
Et dans ce monde froid, tu n'as pour seules armes
Que la force et l'espoir de ton cœur généreux
Qui apporte la paix à tous les malheureux.
Tu es la confidente aimée des solitaires,
De tous ceux que la vie a rendus grabataires
Tu offres ton sommeil, tu distribues ton temps,
Tu soignes, tu guéris tout en réconfortant.
Tu es la providence au sourire angélique,
Et dans cet univers inodore aseptique
Tu mêles ton parfum aux nuages d'éther
En ajustant la sonde ou bien le cathéter
Lorsque la mort, hélas se montre la plus forte
Et que le sang glacé se fige dans l'aorte
L'amertume et la rage envahissent ton cœur
Qui ne supporte pas que le mal soit vainqueur.
Tu sais que la " Camarade" habite les parages
Et qu'elle peut frapper tous les gens, tous les âges
Et tu pleures parfois quand tombe le rideau
Sur l'inconnu défunt qui va vers le tombeau.
Pourtant lorsque paraît, quand s'éloigne le pire
Une lueur de joie au milieu d'un sourire
Alors modestement tu reçois ce cadeau
Et tu sens beaucoup moins le poids de ton fardeau
Tu me pardonneras infirmière anonyme
Ce " tu " si familier au milieu de la rime
Mais je te connais bien car je t'ai vu souvent
Au cœur de l'hôpital plus sombre qu'un couvent.
Tu n'es pas une star ni même une vedette
Pour louer ton travail, ni radio, ni gazette
Mais laisse-moi te dire avec mes mots ici
Ce que je ne puis taire infirmière Merci.
merci à toute les inirmières du monde
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