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Un coup de cafard !

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  • Un coup de cafard !

    Je rêve au fait, ta silhouette allotropique joue
    De mon faible esprit qui vagabonde
    Elle vient en vogue, transportée par
    Les vagues du monde qui déferlent de la nuit
    Opaque qui t’enveloppe toujours...
    Rien que des formes floues en libellules qui
    Planent sur mon horizon disparate et indiscernable,
    Tu me donnes ces frayeurs à vouloir
    Tendre ma main dans ton espace noir
    Et confus. Une main qui pourrait, croirais-je,
    S’arracher d’un de tes coups brefs et assassins
    Et un esprit qui pourrait s’inoculer ton
    Juteux poison ! Que me reste t-il sinon
    Ton mépris et ton arrogance, j’en
    Buvais après chaque retrouvaille si tu savais.
    Une hutte qui jadis nous unissait
    A été détruite, démolie à coup de tes mots
    Faux et menteur. J’ai été allé chercher du réconfort
    Dans un ailleurs qui émaille, mais
    L’amour à ces personnes qui me revitalisent
    Me retient et me revient à chaque passage,
    Il est plus fort que ton poison eh ! oui.
    Un poison dont j’étais camé en ayant
    L’air tordu …de toi je me dénoue et
    Je me démêle avant même de commencer !

    Samir
    Page blanche

  • #2
    Je ne preterais pas foi
    a ton detachement
    tu n y arrivera pas non
    tu es comme le papillon de nuit
    attiré par cette lumiere qui le détruit.
    tu t en vas dans d autres vies
    observer le monde
    mais il te manque oui
    ce venin la, il s est introduit en toi
    insidieusement.
    il remonte en toi les matins brumeaux
    apres une nuit d insomnie
    ca te brule !
    il te faut la ressentir a nouveau
    un peu
    doucement
    de temps en temps, la revoir
    mais ne plus l entendre
    douceur d un visage
    douleur de ses mots
    tu n y arriveras pas
    elle est en toi
    tu n aura de guerison
    qu un autre coup de poison
    laisse toi faire
    laisse la onduler autour de ton etre
    qu elle t enlace febrilement le cou
    que ton oxygene se rarifie
    que tes yeux voient flou
    que ton corps s affaiblit
    et que tu tombes en inclinaison !

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    • #3
      c est quoi c'est des poemes?

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      • #4
        en tout cas ca y ressemble un peu hein?

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        • #5
          Merci may pour cet enchaînement

          Combien ont parié bien avant toi mais ont toutes perdu
          En déroute,
          Car ce ne sont que de passagers nuages
          Et des orages à faire couler des tonnes
          De laves jusqu’à la béatitude !
          Je souffle tes moulins à vent de mes
          Poumons
          Avides de compression,
          Tu rouleras sans le savoir sous ma force
          Qui te fait des voltiges et un grand air aux trousses
          Te feras voler très haut de tes ailes brisées !
          Que du vent au fait, tu ressentiras dans le visage
          Mes doigts en velours et ton corps entre mes bras
          S’évanouie !
          Résiste autant que tu pourras aux voix des sirènes
          Qui t’entourent et qui me sont toujours fidèles,
          Tu viendras un jour t’abandonner après un périlleux
          Voyage !
          Oublie-là pour une fois, elle te hante la princesse ou quoi ?
          Je le sais, elle réussira toujours même
          Loin de mes soutiens magiques !
          Je tombe ? Certes, un jour, tout un chacun le fera
          Comme le font ces vielles feuilles au couleurs
          Jaunies et que la vie trahirais à chaque pas…

          Samir
          Dernière modification par cassini, 31 janvier 2008, 10h30.
          Page blanche

          Commentaire


          • #6
            c est quoi c'est des poemes?
            C'est un peu plus complexe au fait...
            Dernière modification par cassini, 31 janvier 2008, 10h29.
            Page blanche

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            • #7
              ce ne sont pas des poemes non !c est plus subtil et plus complexe...

              tout comme le vent
              elle te souffle sur le visage
              un air different
              fait de regret
              pour les lynchages
              et les mots fustigés
              qui visaient ton coeur
              meurtrit non je ne dirait
              pas moisi aujourdhui.
              ferme les yeux laisse toi
              hanter envouter
              suis le chemin des ames
              errantes
              va au devant de ta
              destinee.
              saigne toi vide toi
              de la rancoeur
              le cafard s en ira
              et elle t acceuillera
              exit les gants de velours
              qui moulaient la main de fer
              envolés les mots tranchants
              qui s eparpillaient
              dans les commissures de ses levres
              et dessinaient un rictus.
              repond a l appel de ses chants
              desesperee de n avoir
              trouvé ailleurs
              celui qui avait cette particularité
              de la tenir eveillée...
              Dernière modification par Invité, 30 janvier 2008, 14h53.

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              • #8
                ton mal être!

                la colère me monte
                je ne peux contenir la haine
                que j'eprouve
                envers moi
                la sentence que je t'avais infligé
                c'est retourné contre moi
                j'hurle cette déchéance
                sans hésitation
                j'ordonne à mes soldats
                vaillant serviteurs de mes caprices
                de briser tous ce qui ressemble
                a un reflet, un miroir
                je lève ta punition
                j'ai tant souffert
                la pénombre de tes maux
                je les relis, je les revis
                a chaque instant
                de ta disparition
                la princesse des ténèbres
                il ne suffisait qu'un mot
                et j'aurai baisser ma garde
                pour te laisser profiter
                partager ses chants
                que j'aime tant
                jamais je n'aurai pensé
                que l'emprise de mon âme
                pourrait tant me faire souffrir
                regarde moi
                viens approche toi
                je ne peux te faire du mal
                je ne peux plus
                je ne peux pas
                le vent me giffle le visage
                me griffe mon corps
                les griffures sont si profondes
                que je ne saurai les cicatriser
                les feuilles jaunies
                je les ai froissé
                me laissant dans la paume de mes mains
                la couleur sang du regret
                ton mal être me tue !


                lily
                la diablesse!
                "pudiquement diabolique"
                griffer ma feuille est mon plus bel amour plus elle souffre plus je me sens vivante!

                lily
                la diablesse!

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                • #9
                  Je me le disais : Il n' y a pas plus beau qu'une réponse de Sara suivie de celle de Lily...vous excellez dans ce genre de répertoire, merci à vous deux.

                  Hypnos
                  se réjouit de mes rêves à sa guise
                  Eole
                  me pousse au bord d’une falaise
                  Et le diable, de mise,
                  est toujours de ton coté !
                  quand même, quand même,
                  Tes coups gifleurs et tes cris siffleurs
                  Ne sont plus assassins
                  comme avant
                  mais tu t’approches
                  le coeur saignant
                  les mots poignants
                  Sans te laisser aller
                  tout de même.
                  le courage ne te manque point,
                  A l'art tes mains n'ont pas failli
                  comme à l'habitué
                  mais je te sens si loin
                  que t'arrive t'il ?
                  J'accepte tous tes procès
                  d'intention, je le sais je ne
                  suis que mauvais garçon
                  mais si tu savais le mal
                  que j'endure, tu m'aurais
                  réservé pardon
                  Et tous ces lardons de la terre
                  qui me colle à la peau et les élixirs
                  du péché...je veux m'en délaver
                  d'un geste purificateur !
                  ma rancoeur n'est rien face
                  à la trahison de ceux qu'on aime !

                  Samir
                  Page blanche

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                  • #10
                    Samir

                    Fais le
                    rentre dans cet etat
                    ou seule le spectre noir
                    a d influence sur toi
                    c est geste de desespoir
                    que de se faire happer
                    par le sombre de ses appels
                    mais
                    si tu te retournes
                    tu me trouvera derriere toi
                    j attends juste un regard
                    quand bien meme il est
                    sali par cette trahison
                    d antant
                    tu ressasses encore et encore
                    le pardon tu l implores
                    pour tout ton etre
                    mais dans la cruauté de nos ombres
                    pourrai tu trouver des excuses
                    aux idees noires qui s eclairent
                    aux instants de nagueres
                    quand le lion ne se jettait pas
                    sur la gazelle au grands pas
                    elle s est faufilée cachée
                    sous les apparances d une vipere
                    et le lion depuis s est terré
                    et aujourdhui il n aspire
                    qu a enjambé l isthme
                    qui le mennera dans l au dela
                    des angoisses et de la vie
                    a trepa !

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                    • #11
                      Sarah

                      Je croyais être compris pour une
                      Fois, mais voilà que ces histoires
                      A l’ancienne viennent perturber mon
                      Esprit
                      Et mes rêves,
                      Elle c’est la POESIE
                      Et vous me faites vivre,
                      La vie ma privé d’Elle pour si longtemps
                      Et avec un geste salvateur, je croyais
                      Que vous redonniez vie...
                      Sans elle je ne suis rien et rien ne
                      Pourrais consoler un cœur
                      Avide
                      De tendresse qui coule comme
                      L’eau dans ces galeries souterraines
                      Et le sang dans tes veines
                      Si venin il y a j’aimerais quand
                      Me l’inocule à vivre dans les vapeurs
                      Grises d’un monde fantasque,
                      Elle m’importe peu la réalité et
                      L’objectivité, je vis à mon aise
                      Matérielle c’est elle que je veux
                      C’est les rêves dont je suis privé
                      La POESIE mine de rien !

                      Samir
                      Dernière modification par cassini, 02 février 2008, 11h04.
                      Page blanche

                      Commentaire


                      • #12
                        bonjour

                        vraiment un bel échange de poéme sublime
                        un voyage qui me laisse sans mot
                        MERCI
                        Le temps passe
                        Et nous n'avons plus le temps de rêvè

                        Commentaire


                        • #13
                          A TOI MERCI wACILA

                          Le son grognant comme des clochers
                          Du vieux temps,
                          Et la tristesse est à son comble…
                          Lorsque trinquent les verres
                          Du cristal fragile, le moment
                          Est grave !
                          Les déserteurs du temple regardent,
                          Les yeux immobiles, fuir ces
                          Secondes virevoltes à l’agonie
                          Du temps luisant,
                          Que reste t-il d’un espoir sinon
                          Sa déchéance ?
                          J’entends glouglouter
                          Les dindons de la farce ; pour avoir assister
                          Au combat de morts qui se tuent.
                          On se voyait mourir dans un corps
                          A corps d’amoureux qui se donnent la mort.
                          Libres et nus que nous sommes,
                          Les cœurs dans la langue et une langue
                          A double tranchant, on s’est écorché
                          Au virage mortel des mots.
                          Je veux que tu reviennes une dernière
                          Fois, même dans une autre vie, nous
                          Accorder une toute dernière danse,
                          Les cœurs brisés et les souffles courts,
                          On s’emboîtera les pas si tu le veux
                          Et je respirerais ta dernière haleine
                          De mortelle, je te dirais que je t’aime !

                          Samir
                          Page blanche

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                          • #14
                            Je ne reviendrai pas
                            Mon haleine est inodore
                            Tout comme cette peine indolore
                            Que les jours ont enterré ici plus bas
                            J'ai epousé une autre scène
                            Et dansé dans une arène
                            Où j'ai pu voir que les yeux ne mentent pas
                            Contrairement à ce coeur qui bat
                            Qui t'a livré ses veines
                            Que t'as fait saigné avec plaisir et sans peine
                            Je suis bien dans mon océan
                            J'ai appris à accèpter et dire non
                            A tes cris je suis muette dorénavant
                            Ce soir, je suis sourde à ce cri qui hèle
                            Vole,vole ! vers d'autres horizons
                            La terre ainsi que le ciel
                            Vents et torrents
                            Ententent ce son qui frêle
                            Mais à lui désormais
                            Je suis une froide éternelle

                            Samar

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                            • #15
                              je reste là!

                              tu pensais qu'elle aurait été belle
                              fluide et passagère
                              non entre "nos" mains
                              elle ne peut être trendresse
                              les mots doux m'insupportent
                              je n'aime les rimes
                              coulant dégageant aucune note
                              préferant l'ombre à la lumière
                              la mort a la vie
                              la haine à l'amour
                              que du vrais
                              l'authentique souffrance
                              d'une vie point achevée
                              je reste là
                              respirant cette haleine
                              essayant de pénetrer
                              dans ce monde irreel
                              la mienne n'est que puanteur
                              nauséabonde mais quelle aubaine
                              d'obtenir la force
                              de faire pourrir et faner
                              tout ce qui se prétend être beau!

                              lily
                              la diablesse!
                              griffer ma feuille est mon plus bel amour plus elle souffre plus je me sens vivante!

                              lily
                              la diablesse!

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