Fatiguée usée à entendre à chaque détour
Ce mot, qui sonne
Ce mot qu’ils disent amour
Tant d’amoureux
Zaama, malheureux
Blessés blasés, pleurnichent
A ne rien avoir dans leur niche
Je suis sciée
Quand je lis des larmes versées
A chaque déception
Mais nul regret
Pour ceux qui laissés en perdition
Je suis presque étonnée
De l’amour d’un sang sue
Qui demande son dû
Et qui s’abat sur la tortue
Quand il n’a rien
Je suis blasée quand on dit je t’aime à tout bout de champs
Je plie mes bagages et je fous le camp
Suis-je si froide que ça?
Ou née au mauvais décan
De mon vocabulaire je l’ai effacé
Par le vide je l’ai remplacé
Mais apparemment faut que mes yeux soient voilés
Pour passer par cette rue
Sans m’arrêter au bout
...
Samar
Ce mot, qui sonne
Ce mot qu’ils disent amour
Tant d’amoureux
Zaama, malheureux
Blessés blasés, pleurnichent
A ne rien avoir dans leur niche
Je suis sciée
Quand je lis des larmes versées
A chaque déception
Mais nul regret
Pour ceux qui laissés en perdition
Je suis presque étonnée
De l’amour d’un sang sue
Qui demande son dû
Et qui s’abat sur la tortue
Quand il n’a rien
Je suis blasée quand on dit je t’aime à tout bout de champs
Je plie mes bagages et je fous le camp
Suis-je si froide que ça?
Ou née au mauvais décan
De mon vocabulaire je l’ai effacé
Par le vide je l’ai remplacé
Mais apparemment faut que mes yeux soient voilés
Pour passer par cette rue
Sans m’arrêter au bout
...
Samar
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