D'un souffle, je suis a la renverse,
Quand de tes mains tu te déverses
Et y pénétrer mes terres de ton averse.
Tu m’as volé dans les plumes
Clavier et doigts galopants,
Sur notre brume commune
Dans ses draps enveloppants.
Avec ce faux prêtre
Une graine d’espoir
Tu as laissé naitre;
Tu la crois encore vaine
Son haleine et son sang
Deja t’appartiennent.
Balance encore de tes mots
Puis de ton regard traverse
Danse encore de tes mains
Qui berce et me transperce.
Des tes coups portés à ce fou
Lui qui s’est perdu dans le flou,
Pour que de tes assauts
Et à ton bout de lasso,
Tout doux, tes joues,
S’accroche à mon cou.
Si on croise au carrefour
Les plus beaux,
Parmi les mots d’Amour
Sur la grande route,
On en ferait le tour
Et en chemin, notre quête,
notre parcourt
Du coin de cette rue,
Perles un goût d’irréel
Un peu vers d’autres cieux,
Pour raconter tes battements d'ailes
Comment guérir mes maux
Triste berlue
Elle qui sait combien je m’aime
Je l’ai déçue
J’ai cherché avec des mots
des lames
Et elle restait là, pour moi,
Pour son âme
Mais continue, déverse ton amour
Mon ménestrel
Il viendra bien te dire un jour
Combien tu es belle
Juste cette petite flamme
Qui manque d’oxygène
Elle attend que s’éloigne
Toute cette gêne
Pour et par tes quelques lettres
Reine d’espoir,
Je me revois, et revis pour toi
Ô mon beau miroir
Juste un souffle
L’espace pour lire, et pour te dire,
Oui je suis là, rien que pour toi
Un dernier souffle
Ma main est là, si tu la tiens
je reviendrais du bout des doigts.
Quand de tes mains tu te déverses
Et y pénétrer mes terres de ton averse.
Tu m’as volé dans les plumes
Clavier et doigts galopants,
Sur notre brume commune
Dans ses draps enveloppants.
Avec ce faux prêtre
Une graine d’espoir
Tu as laissé naitre;
Tu la crois encore vaine
Son haleine et son sang
Deja t’appartiennent.
Balance encore de tes mots
Puis de ton regard traverse
Danse encore de tes mains
Qui berce et me transperce.
Des tes coups portés à ce fou
Lui qui s’est perdu dans le flou,
Pour que de tes assauts
Et à ton bout de lasso,
Tout doux, tes joues,
S’accroche à mon cou.
Si on croise au carrefour
Les plus beaux,
Parmi les mots d’Amour
Sur la grande route,
On en ferait le tour
Et en chemin, notre quête,
notre parcourt
Du coin de cette rue,
Perles un goût d’irréel
Un peu vers d’autres cieux,
Pour raconter tes battements d'ailes
Comment guérir mes maux
Triste berlue
Elle qui sait combien je m’aime
Je l’ai déçue
J’ai cherché avec des mots
des lames
Et elle restait là, pour moi,
Pour son âme
Mais continue, déverse ton amour
Mon ménestrel
Il viendra bien te dire un jour
Combien tu es belle
Juste cette petite flamme
Qui manque d’oxygène
Elle attend que s’éloigne
Toute cette gêne
Pour et par tes quelques lettres
Reine d’espoir,
Je me revois, et revis pour toi
Ô mon beau miroir
Juste un souffle
L’espace pour lire, et pour te dire,
Oui je suis là, rien que pour toi
Un dernier souffle
Ma main est là, si tu la tiens
je reviendrais du bout des doigts.
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