Ode à une fleur
Je te salue, ô toi majestueuse
Ma bien-aimée, mon île merveilleuse
J'entends chanter tes louanges
Là-haut, où se trouvent les anges
Ô toi, survolant le ciel comme une hirondelle
Qui ramène le printemps dans mes jours tristes
Ô pauvre de moi, misérable, je ne suis qu'infidèle
Autant que le fût Judas pour le Christ
Coupable, je suis, de ne t'avoir pas aimer
Comme devrait le faire un homme avec sa reine
Coupable, je suis, de ne pas avoir vu couler
Les larmes de tes yeux de sirène
Coupable je suis d'avoir pû t'attrister
Souvent, par mes déboires et mes peines
Pardonne moi, ô toi âme charitable
Je pleure et mon coeur est plein d'émoi
Pardonne-moi, de tous les péchés du diable
Que j'ai pu commettre envers toi
Toi seule a su voir dans mon âme insondable
Les tourments qui ne la quittaient pas
Toi seule a pu lire mes livres indéchiffrables
Et le langage que je ne connaissais pas
Toi seule a su écouter mon coeur sensible
Qui saignait au plus profond de moi
Oh Oui! Toi seule s'est aventurée sur ces terres inviolables
Où seuls sont admis les reines et les rois
Je baise tes mains, les veines qui les traversent
Je baise tes pieds, la terre qui les caresse
Je baise le sein qui m'a nourri
de cet amour, eternel, infini
Je baise tes yeux tendres, mais tristes aussi
Je courbe l'échine devant tant de majesté
Tel que le ferait un homme devant son roi
Tu portes sur le dos le poids de l'humilité
Que tu gardes, toujours, au plus profond de toi
Dieu t'as fait grâce de Son crédit
En mettant à tes pieds les clés du Paradis
Puissent ces mots être aussi doux
Que le fût, jadis, ta main sur ma joue
Ceci est une ode pour ma fleur
C'est ainsi qu'un enfant remercie sa mère.
Merci maman et bonne fête à toutes les mères.
Je te salue, ô toi majestueuse
Ma bien-aimée, mon île merveilleuse
J'entends chanter tes louanges
Là-haut, où se trouvent les anges
Ô toi, survolant le ciel comme une hirondelle
Qui ramène le printemps dans mes jours tristes
Ô pauvre de moi, misérable, je ne suis qu'infidèle
Autant que le fût Judas pour le Christ
Coupable, je suis, de ne t'avoir pas aimer
Comme devrait le faire un homme avec sa reine
Coupable, je suis, de ne pas avoir vu couler
Les larmes de tes yeux de sirène
Coupable je suis d'avoir pû t'attrister
Souvent, par mes déboires et mes peines
Pardonne moi, ô toi âme charitable
Je pleure et mon coeur est plein d'émoi
Pardonne-moi, de tous les péchés du diable
Que j'ai pu commettre envers toi
Toi seule a su voir dans mon âme insondable
Les tourments qui ne la quittaient pas
Toi seule a pu lire mes livres indéchiffrables
Et le langage que je ne connaissais pas
Toi seule a su écouter mon coeur sensible
Qui saignait au plus profond de moi
Oh Oui! Toi seule s'est aventurée sur ces terres inviolables
Où seuls sont admis les reines et les rois
Je baise tes mains, les veines qui les traversent
Je baise tes pieds, la terre qui les caresse
Je baise le sein qui m'a nourri
de cet amour, eternel, infini
Je baise tes yeux tendres, mais tristes aussi
Je courbe l'échine devant tant de majesté
Tel que le ferait un homme devant son roi
Tu portes sur le dos le poids de l'humilité
Que tu gardes, toujours, au plus profond de toi
Dieu t'as fait grâce de Son crédit
En mettant à tes pieds les clés du Paradis
Puissent ces mots être aussi doux
Que le fût, jadis, ta main sur ma joue
Ceci est une ode pour ma fleur
C'est ainsi qu'un enfant remercie sa mère.
Merci maman et bonne fête à toutes les mères.
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