On ne parle que de guerre
que de pleurs et de leurres
On ne voit que du sang
mais bon sang où vas t’on?
Un instant je regarde au loin le paysage
Il est soudain redevenu si sage
L’air est pur, on respire le bonheur
Plus de pleurs que de la joie
Plus de cris que de l’oubli
Plus de larmes
Mais quel charme a ton doux visage quand il sourit
Du plus profond de ma mémoire
Je ne vois que du noir
Une étendue en flammes
Une larme étendue à ses drames
Des fusils des bombes des obus
Du sang du napalm
Et des hommes qu’on réveille
Que des gens sans sommeil
Des zombies qui divaguent dans la nuit
Rentrent avec force incendient injurient
Et des armes sans charme ornent leur visage
Des éclairs qui jaillissent dans l’air
Et au loin l’horizon se profile
A un fil suspendu je confonds
Le ciel est redevenu orage
Mais les lueurs seront à ton image
Ma mémoire se résout à se fondre dans la masse
Mais en fermant les yeux, je ne vois que tes yeux
Je sais que demain …
Demain soudain me semble si loin….
morjane
22/07/05
que de pleurs et de leurres
On ne voit que du sang
mais bon sang où vas t’on?
Un instant je regarde au loin le paysage
Il est soudain redevenu si sage
L’air est pur, on respire le bonheur
Plus de pleurs que de la joie
Plus de cris que de l’oubli
Plus de larmes
Mais quel charme a ton doux visage quand il sourit
Du plus profond de ma mémoire
Je ne vois que du noir
Une étendue en flammes
Une larme étendue à ses drames
Des fusils des bombes des obus
Du sang du napalm
Et des hommes qu’on réveille
Que des gens sans sommeil
Des zombies qui divaguent dans la nuit
Rentrent avec force incendient injurient
Et des armes sans charme ornent leur visage
Des éclairs qui jaillissent dans l’air
Et au loin l’horizon se profile
A un fil suspendu je confonds
Le ciel est redevenu orage
Mais les lueurs seront à ton image
Ma mémoire se résout à se fondre dans la masse
Mais en fermant les yeux, je ne vois que tes yeux
Je sais que demain …
Demain soudain me semble si loin….
morjane
22/07/05
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