Lugana, ce que tu nous as narré hier est bouleversant. Etant père moi aussi, et ayant partagé la douleur, Je me suis permis d’écouter un dialogue entre la petite et sa maman et pardonne-moi si aujourd’hui, je le divulgue.
C’est ma façon de rendre hommage à ton amie et son enfant, accepte-là, s’il te plaît.
C’est ma façon de rendre hommage à ton amie et son enfant, accepte-là, s’il te plaît.
Maman, sais-tu que je suis devenue un petit ange
Non ! Ne pleure pas, à cela il n’y a rien d’étrange,
Maman, ne crains rien, je suis bien parmi les roses
Et mon nouveau monde ici est loin d’être morose.
S’il vous plait, pardonnez-moi, d’être si vite partie
Sans prévenir et sans emprunter la porte de sortie,
Si je ne vous ai pas dis au revoir, c’est malgré moi
Car ce voyage n’était guère prévu, pardonnez–moi.
Non ! non, douce maman, je n’ai point été kidnappée
Mais au contraire, ici, je suis dans un monde de paix
Maman, sache ce n’est pas moi qui ai fait ce choix
Surtout ne pleure pas et… je veux entendre ta voix.
.............................. - - - - ..........................
Ma petite Sarah, tu étais l’ange qui illuminait la maison
Le printemps, mais tu ne verras pas la fin de la saison
Tu étais une rose de ce mois de mai qui venait d’éclore
Mais tu viens d’être fauchée brutalement par la mort.
Sarah, tu ne m’as pas laissé le temps… ou pas assez,
De te voir grandir à mes côtés ; tu n’as fait que passer
Je me suis pourtant habituée tous les jours à ton sourire
Pourquoi ne m’as-tu pas dis ce jour, que tu allais mourir ?
Ma petite Sarah, tu étais l’unique vœu de mes rêves
Pourquoi chérie, ne m’as-tu pas accordé une trêve ?
Je me serai alors préparée à cette douleur immonde,
Avant qu’à jamais et sans moi, tu ne changes de monde.
28/05/2008
Non ! Ne pleure pas, à cela il n’y a rien d’étrange,
Maman, ne crains rien, je suis bien parmi les roses
Et mon nouveau monde ici est loin d’être morose.
S’il vous plait, pardonnez-moi, d’être si vite partie
Sans prévenir et sans emprunter la porte de sortie,
Si je ne vous ai pas dis au revoir, c’est malgré moi
Car ce voyage n’était guère prévu, pardonnez–moi.
Non ! non, douce maman, je n’ai point été kidnappée
Mais au contraire, ici, je suis dans un monde de paix
Maman, sache ce n’est pas moi qui ai fait ce choix
Surtout ne pleure pas et… je veux entendre ta voix.
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Ma petite Sarah, tu étais l’ange qui illuminait la maison
Le printemps, mais tu ne verras pas la fin de la saison
Tu étais une rose de ce mois de mai qui venait d’éclore
Mais tu viens d’être fauchée brutalement par la mort.
Sarah, tu ne m’as pas laissé le temps… ou pas assez,
De te voir grandir à mes côtés ; tu n’as fait que passer
Je me suis pourtant habituée tous les jours à ton sourire
Pourquoi ne m’as-tu pas dis ce jour, que tu allais mourir ?
Ma petite Sarah, tu étais l’unique vœu de mes rêves
Pourquoi chérie, ne m’as-tu pas accordé une trêve ?
Je me serai alors préparée à cette douleur immonde,
Avant qu’à jamais et sans moi, tu ne changes de monde.

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