Taha Hussein et son épouse Suzanne Bresseau
Voici l’une des plus belles, mais aussi l’une des plus méconnues histoires d’amour de l’Histoire.
Une histoire rare, puissante, presque irréelle — celle d’un amour que tout rendait impossible.
Un amour bâti sur les différences.
Des différences totales.
Il était Égyptien, elle était Française.
Il était musulman, elle était chrétienne.
Il venait d’un milieu modeste, elle d’un monde aristocratique.
Il était brun, aveugle de naissance ; elle, blonde aux yeux d’azur.
Et pourtant…
Malgré les frontières, les contrastes, les regards, ils vécurent unis pendant cinquante-six ans. Jusqu’à ce que la mort les sépare.
De leur amour naquirent deux enfants : Anis et Amina.
Mais même après sa disparition, Suzanne ne cessa de l’aimer.
Elle lui rendit hommage dans un livre bouleversant, intitulé Avec Toi.
Dans le dernier chapitre, elle écrit :
> « Et à la fin… nous étions ensemble. Toujours. Rien que nous deux.
Si proches, d’une proximité que les mots ne sauraient dire.
Ma main dans la sienne, comme au tout premier jour.
Dans cette étreinte ultime, je lui ai parlé.
J’ai déposé un baiser sur son front noble, ce front que ni le temps, ni la douleur n’avaient marqué.
Ce front qui n’avait jamais connu le pli des soucis.
Ce front qui, même éteint, éclairait encore mon monde. »
Elle était d’une grande beauté… qu’il ne vit jamais.
Et pourtant, il l’aima.
Il était aveugle… mais jamais elle ne vit cela comme un manque.
Et elle l’aima.
Ils s’aimèrent au-delà des apparences, au-delà des sens.
Il aimait son âme, elle aimait la sienne.
Il voyait le monde à travers ses yeux ; elle vivait au rythme de son cœur.
C’était l’amour…
Tel qu’il devrait toujours être.
Voici l’une des plus belles, mais aussi l’une des plus méconnues histoires d’amour de l’Histoire.
Une histoire rare, puissante, presque irréelle — celle d’un amour que tout rendait impossible.
Un amour bâti sur les différences.
Des différences totales.
Il était Égyptien, elle était Française.
Il était musulman, elle était chrétienne.
Il venait d’un milieu modeste, elle d’un monde aristocratique.
Il était brun, aveugle de naissance ; elle, blonde aux yeux d’azur.
Et pourtant…
Malgré les frontières, les contrastes, les regards, ils vécurent unis pendant cinquante-six ans. Jusqu’à ce que la mort les sépare.
De leur amour naquirent deux enfants : Anis et Amina.
Mais même après sa disparition, Suzanne ne cessa de l’aimer.
Elle lui rendit hommage dans un livre bouleversant, intitulé Avec Toi.
Dans le dernier chapitre, elle écrit :
> « Et à la fin… nous étions ensemble. Toujours. Rien que nous deux.
Si proches, d’une proximité que les mots ne sauraient dire.
Ma main dans la sienne, comme au tout premier jour.
Dans cette étreinte ultime, je lui ai parlé.
J’ai déposé un baiser sur son front noble, ce front que ni le temps, ni la douleur n’avaient marqué.
Ce front qui n’avait jamais connu le pli des soucis.
Ce front qui, même éteint, éclairait encore mon monde. »
Elle était d’une grande beauté… qu’il ne vit jamais.
Et pourtant, il l’aima.
Il était aveugle… mais jamais elle ne vit cela comme un manque.
Et elle l’aima.
Ils s’aimèrent au-delà des apparences, au-delà des sens.
Il aimait son âme, elle aimait la sienne.
Il voyait le monde à travers ses yeux ; elle vivait au rythme de son cœur.
C’était l’amour…
Tel qu’il devrait toujours être.