La moudjahida Annie Steiner, elle-même emprisonnée à Barberousse (Alger) et qui a vu horrifiée de la lucarne de sa cellule, l'exécution de Fernand Iveton, en même temps que lui, deux autres patriotes algériens furent guillotinés; Mohamed Lakhnèche et Mohamed Ouenouri.
Le soir même dans sa cellule, Annie Steiner compose ce poème :
"Ce matin ils ont osé
Ils ont osé
Vous assassiner
C’était un matin clair
Aussi doux que les autres
Où vous aviez envie de vivre et de chanter
Vivre était votre droit
Vous l’avez refusé
Pour que par votre sang d’autres soient libérés
Que vive votre idéal
Et vos sangs entremêlés
Pour que demain ils n’osent plus
Nous assassiner."
Le soir même dans sa cellule, Annie Steiner compose ce poème :
"Ce matin ils ont osé
Ils ont osé
Vous assassiner
C’était un matin clair
Aussi doux que les autres
Où vous aviez envie de vivre et de chanter
Vivre était votre droit
Vous l’avez refusé
Pour que par votre sang d’autres soient libérés
Que vive votre idéal
Et vos sangs entremêlés
Pour que demain ils n’osent plus
Nous assassiner."