Bleue, immense, incommensurable,
l'étendue céleste se colore de dégradés veloutés.
De mes mains, la saisir, pour un baiser matinal.
Du regard, garder prisonnier l'instant présent.
Elever une mélodie, pour la grandeur du moment.
Me noyer dans sa vague transparente, légère,
qui avance, éclaire.
L'horizon est en attente d'une naissance.
Il se découvre, se dévoile.
Il lance un éclat, un rubis rayonnant.
Explosion de lumière montante,
dans la douceur d'un jour nouveau.
Intimer au matin son arrêt,
nul ne le peut.
Ni faire connaitre à l'aurore sa possession.
Là où réside la lumière en connaitre sa position,
pure invention.
Sa resplendissante beauté s'étalle en corolle,
elle déborde, s'emplifie.
L'intelligence du phénomène céleste,
jamais ne fut donnée.
En connaitre les secrets, l'homme ne le pourrait.
Effleurer sa sagesse,
tour à tour,
il la goûte ou la refuse.
Puissance radiante d'un astre qui réchauffe,
illumine, aveugle.
Au dedans de moi, mon coeur chavire.
Il s'étourdit d'une beauté qui enveloppe.
Jamais ne se rassassie !
Mon esprit se répend devant la majesté de sa hauteur sure.
Muette, je m'incline à l'approche de sa caresse furtive.
Plaisir intense, élévation de l'âme.
C'est dans le plus grand silence,
qu'en un ragonnement,
chaque jour, il déverse sa lumière fantastique.
Il éclaire son horizon mouvant,
avec le ciel, se confondant.
Invitation à l'amour du beau, du doux, du léger.
Aérienne folie, s'emparant des sens.
De ma main tendue, je t'appelle.
Te guider sur les routes du ciel,
mon coeur le voudrait.
Allez, viens !
Où que tu sois,
qui que tu sois, lève les yeux vers le haut.
Le ciel, le soleil, la lune, et les étoiles,
pour toi, suspendus ils ont été.
Mes émotions, si tu les comprends,
en offrande, à tes pieds je les dépose.
Un matin... un jour....
si tu es patient,
à ton tour,
viens !
Je t'attends !
Sonia
l'étendue céleste se colore de dégradés veloutés.
De mes mains, la saisir, pour un baiser matinal.
Du regard, garder prisonnier l'instant présent.
Elever une mélodie, pour la grandeur du moment.
Me noyer dans sa vague transparente, légère,
qui avance, éclaire.
L'horizon est en attente d'une naissance.
Il se découvre, se dévoile.
Il lance un éclat, un rubis rayonnant.
Explosion de lumière montante,
dans la douceur d'un jour nouveau.
Intimer au matin son arrêt,
nul ne le peut.
Ni faire connaitre à l'aurore sa possession.
Là où réside la lumière en connaitre sa position,
pure invention.
Sa resplendissante beauté s'étalle en corolle,
elle déborde, s'emplifie.
L'intelligence du phénomène céleste,
jamais ne fut donnée.
En connaitre les secrets, l'homme ne le pourrait.
Effleurer sa sagesse,
tour à tour,
il la goûte ou la refuse.
Puissance radiante d'un astre qui réchauffe,
illumine, aveugle.
Au dedans de moi, mon coeur chavire.
Il s'étourdit d'une beauté qui enveloppe.
Jamais ne se rassassie !
Mon esprit se répend devant la majesté de sa hauteur sure.
Muette, je m'incline à l'approche de sa caresse furtive.
Plaisir intense, élévation de l'âme.
C'est dans le plus grand silence,
qu'en un ragonnement,
chaque jour, il déverse sa lumière fantastique.
Il éclaire son horizon mouvant,
avec le ciel, se confondant.
Invitation à l'amour du beau, du doux, du léger.
Aérienne folie, s'emparant des sens.
De ma main tendue, je t'appelle.
Te guider sur les routes du ciel,
mon coeur le voudrait.
Allez, viens !
Où que tu sois,
qui que tu sois, lève les yeux vers le haut.
Le ciel, le soleil, la lune, et les étoiles,
pour toi, suspendus ils ont été.
Mes émotions, si tu les comprends,
en offrande, à tes pieds je les dépose.
Un matin... un jour....
si tu es patient,
à ton tour,
viens !
Je t'attends !
Sonia
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