Ta confiance en l'homme tu as perdu.
Toi qui cherche la stabilité.
Ta joie s'en est allée,
avec les promesses vite oubliées.
Toi qui observe les actes de voisinage.
L'amitié... l'amour... tu les recherces.
A l'appel de ton coeur, l'écho ne répond.
Tu marches dans la nuit et c'est
dans la solitude que tes pas s'installent.
Crier tu voudrais,
mais le désert t'environne.
Qui pourrait entendre ta longue plainte,
si l'absence se prolonge ?
Retenir l'attention tu aimerais.
Imposer une grande ouverture,
l'échange, ainsi tu le comprendrais.
Mais c'est du silence que tu es prisonnier.
Nostalgique errance, vers d'autres pensées...
Légitime besoin de tendresse,
une simple caresse,
une douceur de langage.
Alors, en partage,
donner le meilleur de toi.
Mais seul le silence, avance vers toi.
Homme irréfléchi, regarde autour de toi.
Au sommet des montagnes, garde ton pied,
et prête l'oreille à leur sagesse.
Tel le soleil qui pénêtre les feuillages,
la sérénité de la nature te comblera.
Le vent, de sa fraicheur, te remplira.
Les orages, de leur énergie,
la vigueeur qui te manque,
ils t'apporteront.
Comme les feuilles d'automne, un à un,
tes soucis tomberont.
Majesté... stabilité... force...
Depuis ses hauteurs,
chutes grandioses,
splendides lacs,
paysages enchanteurs,
la montagne, en partage, elle te donnera.
Pour offrir à ton coeur ce qui qui te manque le plus :
La joie de voguer sur les eaux de la vie.
Le bonheur de trouver la perspicacité,
qu'avec tes yeux tu as cherché.
Allez !
Laisse toi guider par l'amitié qui t'est proposée,
même si éloignée de toi, elle est.
Celle là, jamais elle ne te blessera.
Même si pour l'instant, tu n'y crois.
Tu es en attente de poesie.
Mais c'est d'amitié qu'elle t'inonde.
Que veux-tu de plus, homme déraisonnable ?
Si tu le sais,
alors, exprime-le !
Mais pour toi,
aujourd'hui,
le sourire de l'amitié,
je t'envoie.
Toi qui cherche la stabilité.
Ta joie s'en est allée,
avec les promesses vite oubliées.
Toi qui observe les actes de voisinage.
L'amitié... l'amour... tu les recherces.
A l'appel de ton coeur, l'écho ne répond.
Tu marches dans la nuit et c'est
dans la solitude que tes pas s'installent.
Crier tu voudrais,
mais le désert t'environne.
Qui pourrait entendre ta longue plainte,
si l'absence se prolonge ?
Retenir l'attention tu aimerais.
Imposer une grande ouverture,
l'échange, ainsi tu le comprendrais.
Mais c'est du silence que tu es prisonnier.
Nostalgique errance, vers d'autres pensées...
Légitime besoin de tendresse,
une simple caresse,
une douceur de langage.
Alors, en partage,
donner le meilleur de toi.
Mais seul le silence, avance vers toi.
Homme irréfléchi, regarde autour de toi.
Au sommet des montagnes, garde ton pied,
et prête l'oreille à leur sagesse.
Tel le soleil qui pénêtre les feuillages,
la sérénité de la nature te comblera.
Le vent, de sa fraicheur, te remplira.
Les orages, de leur énergie,
la vigueeur qui te manque,
ils t'apporteront.
Comme les feuilles d'automne, un à un,
tes soucis tomberont.
Majesté... stabilité... force...
Depuis ses hauteurs,
chutes grandioses,
splendides lacs,
paysages enchanteurs,
la montagne, en partage, elle te donnera.
Pour offrir à ton coeur ce qui qui te manque le plus :
La joie de voguer sur les eaux de la vie.
Le bonheur de trouver la perspicacité,
qu'avec tes yeux tu as cherché.
Allez !
Laisse toi guider par l'amitié qui t'est proposée,
même si éloignée de toi, elle est.
Celle là, jamais elle ne te blessera.
Même si pour l'instant, tu n'y crois.
Tu es en attente de poesie.
Mais c'est d'amitié qu'elle t'inonde.
Que veux-tu de plus, homme déraisonnable ?
Si tu le sais,
alors, exprime-le !
Mais pour toi,
aujourd'hui,
le sourire de l'amitié,
je t'envoie.
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