On frappe à la fenêtre de mon mobile, les os du silence se brisent
Puis le cœur reprend ses battements insatiables
On rentre dans une ballade nocturne le longs du corridors urbains
Où se cachent des secrets, où se vautrent les hommes
Qu'on préfère abandonner, le long de sentiers bordés d'oubli
Contre le feu du soir qui s’éteint, les soupçons déteignent
La couverture du ciel avais déjà pris ca couleur brune
La procession de nos âmes seules peuple l’autoroute dormante
Je sens la chaleur de la nuit révéler ses canines
Sous l'aspect calme et sérieux et aux longs discourt peuplé
La rouille des siècles déterre des souvenirs ternies
Le souffle fatigué d’une journée chargée
Résonne en échos pâles qui cognent la voûte
Dans l’autre sens le sang des veines recoule
Et reprend un couloir innombrable
Là , Retour au point qui refuse l’exil
D’un baiser inattendu dans l’air fade de la nuit
Tes lèvres pénètrent le sanctuaire des dieux
Humide et brûlant, il fait gémir d’un sourire agréable
Le silence qui porte en sourdine dans les champs nocturne
Quand tous les chats sont gris, comment supporte les lumières qui grondent
Je voulais sentir le souffle clos sur mon cou nue
Voir frissonner la sensualité sur son socle de pierre
Non ………Laissez les crépuscules sonner l'ordre de guerre
Le destin balayer les parvis de départ ………….mais il repart
Puis le cœur reprend ses battements insatiables
On rentre dans une ballade nocturne le longs du corridors urbains
Où se cachent des secrets, où se vautrent les hommes
Qu'on préfère abandonner, le long de sentiers bordés d'oubli
Contre le feu du soir qui s’éteint, les soupçons déteignent
La couverture du ciel avais déjà pris ca couleur brune
La procession de nos âmes seules peuple l’autoroute dormante
Je sens la chaleur de la nuit révéler ses canines
Sous l'aspect calme et sérieux et aux longs discourt peuplé
La rouille des siècles déterre des souvenirs ternies
Le souffle fatigué d’une journée chargée
Résonne en échos pâles qui cognent la voûte
Dans l’autre sens le sang des veines recoule
Et reprend un couloir innombrable
Là , Retour au point qui refuse l’exil
D’un baiser inattendu dans l’air fade de la nuit
Tes lèvres pénètrent le sanctuaire des dieux
Humide et brûlant, il fait gémir d’un sourire agréable
Le silence qui porte en sourdine dans les champs nocturne
Quand tous les chats sont gris, comment supporte les lumières qui grondent
Je voulais sentir le souffle clos sur mon cou nue
Voir frissonner la sensualité sur son socle de pierre
Non ………Laissez les crépuscules sonner l'ordre de guerre
Le destin balayer les parvis de départ ………….mais il repart
Commentaire