A mes frères, à l’Algérie entière
Des montagnes du DjurDjura jusqu'au fin fond du désert, montrons notre courroux.
Montrons que nous nous aimons, mais sans porter atteinte aux consciences.
Mais porter un coup fatal, décisif, à ces soi-disant opposants ;
A ces fainéants de la nation qui se pavanent dans les salons de l'occident
Et qui nous embourbent de boue de désillusion
Et à ces gens sans entente qui sèment le trouble et la honte sur cette terre prospère, très chère, où beaucoup de mères ont souffert.
Qu'ils se taisent !
Qu'ils se taisent !
Mais qu'ils se taisent !
Lounes Matoub
Ce qui était vrai hier l'est tout autant aujourd'hui, Paix à son âme...
Des montagnes du DjurDjura jusqu'au fin fond du désert, montrons notre courroux.
Montrons que nous nous aimons, mais sans porter atteinte aux consciences.
Mais porter un coup fatal, décisif, à ces soi-disant opposants ;
A ces fainéants de la nation qui se pavanent dans les salons de l'occident
Et qui nous embourbent de boue de désillusion
Et à ces gens sans entente qui sèment le trouble et la honte sur cette terre prospère, très chère, où beaucoup de mères ont souffert.
Qu'ils se taisent !
Qu'ils se taisent !
Mais qu'ils se taisent !
Lounes Matoub
Ce qui était vrai hier l'est tout autant aujourd'hui, Paix à son âme...
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