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Béjaia Mon amour ( Heureusement que tu existes)

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  • #31
    vous me donnez envie de visiter bejaia!
    on fait avec..........

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    • #32
      moi aussi je suis des environs d'ighi ali
      j'y suis allée cet été mais la meilleure saison c'est le printemps on peut profiter pleinement de la nature

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      • #33
        Bonsoir

        Nous allons pas interrompre ce topic ...........je me joins à vous .Mes origines sont également de béjaia (hauteurs de bejaia ) tout la haut ........

        Je vous dédicace cette ambiance folkhlorique " Groupe la soumam d'ath abbas



        Au plaisir .....

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        • #34
          salam 3alaykoum..ou azul
          je ne suis pas dutout bougiote, mais j ai decouvert cette region ya 5 ans, et depuis je suis sous le charme ...
          n'est-ce pas occidental??

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          • #35
            par Tariq RAMADAN

            Pourquoi aime-t-on au fond ? Quelle est la source, et le sens et la finalité de l’amour ? Pourquoi sent-on un jour qu’un amour naît, pourquoi sent-on un jour qu’un amour meurt ? Pourquoi pour ses parents, ses enfants, pourquoi, tout au fond, l’amour presque invariablement demeure ? Comment aime-t-on ? Pourquoi aime-t-on, au fond ?
            La vie nous apprend à apprendre, à nous blesser, à nous relever, à mûrir. La vie est révélation et lorsque notre cœur et notre intelligence se tournent vers Sa Révélation, nous comprenons un peu le sens, le mystère, le sens de ce mystère. Il y a plusieurs façons d’aimer : Le Très Doux nous offre l’amour avec l’essence même de notre nature et nous invite à continuer notre quête de l’amour, des êtres, de la Création, de Son amour.
            Il y a plusieurs façons d’aimer. Soi, par égocentrisme ou égoïsme. Une obsession de soi jusqu’à l’orgueil et l’arrogance. Un amour tellement naturel, un amour tellement dangereux. Ne voir le monde qu’à travers soi : s’aimer au point de ne penser qu’à soi et, au cœur de ce mystérieux paradoxe, s’aimer au point de s’oublier.
            Aimer sa mère, son père, son mari, sa femme, sa fille, son fils, dans le creuset des habitudes : ne plus rien apprendre de cet amour que dans les accidents ou les absences. Devenir inattentif devant de si habituelles présences...étrange paradoxe, ... devenir aveugle de trop voir. Perdre le sens parce que l’on est gagné, noyé, emporté par ce quotidien tant répété.
            Observer ses amis, les êtres humains et le monde et questionner son cœur. Pourquoi vous ? Pourquoi vous aimer ? Vos apparences ? Vos qualités ? Vos goûts ? Aimer au nom de ce que l’on sent, parce qu’on le sent « vraiment ». Le feu quand tout commence, les cendres quand tout finit... à cause des trahisons, des défauts, des blessures. L’amour qui rend aveugle et la séparation si clairvoyant. Un autre paradoxe... une braise qui est à la fois la chaleur de nos amours et l’infinie brûlure de nos souffrances.
            Apprendre à aimer. Tel est le message de toutes les spiritualités : on peut aimer pour s’aimer, soi, autrui, l’univers ; on peut aimer pour se dépasser soi, soi et autrui ; soi et l’univers. Dans la proximité du divin, on apprend qu’il faut chercher, s’initier, briser, façonner, rompre et renouveler. Chercher le sens de nos amours ; s’initier aux secrets des espérances et ne pas s’arrêter à l’évidence des qualités ; briser l’ego et les apparences ; façonner le regard et les exigences ; renouveler la lumière de son cœur et de ses yeux et, comme on jeûne, apprendre à rompre pour recommencer. Etre deux, avec soi, avec Dieu, avec toi... un don, une épreuve, une souffrance, une espérance.
            Près de toi ou sans toi. Pourquoi aime-t-on ? Pourquoi se sépare-t-on ? Pourquoi, au fond ? Sur la route il convient d’apprendre que Son amour comme nos amours, que nos rencontres comme nos séparations, sont des initiations : on peut aimer un parent, un être, sa beauté, ses qualités ; on peut aimer ce qui est et ne connaître, finalement, que la blessure et la souffrance. On peut apprendre à aimer, au-delà de ce qui est, l’horizon qui nous unit. Se dépasser pour Lui, chercher ensemble la route qui mène à Sa lumière... aimer le sens, le chemin, autant que la destination et le destin. Un effort continué, un jihâd de l’amour. Lever les yeux devant et apprendre cet amour et la liberté. Se dépasser et se libérer des amours qui enchaînent et emprisonnent : ces amours « finis », parfois idolâtres, parfois trompeurs à proximité de notre animalité. Un travail infini, jamais fini, plein de tristesse, de blessures et de larmes. Ici-bas, une vérité : qui aime vraiment doit apprendre à pleurer. La vie. L’amour et la vie.
            Pourquoi aime-t-on au fond ? D’aucuns aiment à s’enchaîner, d’autres à se libérer. Un mystère. L’Unique nous appelle, nous invite et nous dit « Va ! Aime ! Aime du plus profond de ton être ! » Il faut aller ! Mets toi en route, cherche et poursuis ta quête : l’amour qui vient à toi n’est point celui que tu cherches. Une illusion, une prison. L’amour que tu cherches, l’amour que tu apprends t’initie à la liberté : seul, à deux, par milliers, il t’apprend à dire « Je L’aime » et, du tréfonds de ton cœur, sentir te sentir être aimé. Alors il faut lever les yeux devant, nourrir cette liberté, et offrir tout ce que l’on a d’amour aux siens, à l’univers, à l’humanité. En passant ou en restant. Par-delà cette vie. L’Amour et la vraie Vie

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            • #36
              mmm

              j'ai été le mois d'aout pour passer de paisibles moments, malheuresement un paysage de désolation s'est offert à ma vue, si vous voyez dans quel état sont devenus les beaux sites de béjaia, en commençant par Saket, Boulimat puis l'entrée de Béjaia ou les autorités ont décidé que la belle foret sera une décharge, tichy est devenu le RDV de toutes les bizzareries de l'Est algérien, Aokas ou j'ai voulu visiter les grottes féeriques sont devenus assourdissantes, tous les véhicules qui y passent au tunnel se sentent obligés de klaxonner et ça fait un bruit terrible en plus de la pollution, en cotinuant sur Melbou c'est une décharge d'ordures..., puis vient la corniche de jijel là aussi c'est la désolation... j'esperait voir un site propre mais rien ne venait

              c'est vrai que Béjaia est une très belle région d'algérie mais n'arrête pas de se dégrader à une vitesse incroyable, j'ai eu la chance de la visiter il y a quelques années de cela et à ce moment je lui trouvait un charme unique surtout au niveau de cap carbon le site est magnifique, la mer est d'un tres beau bleu, je crois meme que c'est l'un des plus beaux caps du monde, mais si vous voyait comment c'est devenu, quelle désolation. la seule chose que j'ai aimé cette année à Béjaia ce sont ses gens ils sont tres calmes effectivement

              l'Algérie est devenu une décharge, avant c'était les sacs en plastique noir à présent il y en a de toutes les couleurs surtout en bleue

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              • #37
                mes salutations

                a grand bonjours a tous les bougiottes alors je suis la juste vous faires plaisire et sur tous je reprisonte bougie et ces alon-toure voila mes amétier encore une fois a tous l'mondes
                la vie na qu'un charme vrais.

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