Bienveue, tu verra c génial, au fait je suis aussi originaire de oran.
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encore un new member!!!!
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salut tout le monde !!!!!!!
je vous remercie pour votre accueil tous sans exeption et ravi de te lire emyra khalidou!! je sais pas si t'es sérieux mais franchement de bon coeur il vaut mieu etre gai dans la vie et aprés c toi qui decides car je vois pour l'instant que des personnes trés optimistes en fin presque brefffffff emira raconte moi sur oran et toi tu vis ou ?Dernière modification par lwennas, 18 juillet 2005, 15h01.
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LES HISTORIENS DIVERGENT sur sa mort certains disent qu'elle a été mise a mort certains disent qu'elle s'est suicidé dans un endroit qui ressemble aux meteores de la grece..un sorte de forteresse naturelle ou on peut y acceder qu'avec des cordes ou des echelles qu'une fois remontée rendent l'endroit imprenable...racontes nous ce que tu sais« Puis-je rendre ma vie
Semblable à une flûte de roseau
Simple et droite
Et toute remplie de musique »
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lala kahina est ...
moi je connais un profeseur en histoire humaine il etait maitre de conferences à paris 8 puis il est allé à londre pour des recherches il m'a beaucoup dit sur les berbers et c incroyable ce qu'il a dans sa tété il m'a dit que khahina quand elle a senti que'elle peut pas reposter elle s'est jeté dans un fleuve je dirai car en ce moment c'etait tros large comme reviere et maintenant ce n'est qu'un petite vallée qui descend dans oued chlef ...bref mais pourquoi elle s'est jeté dans le fleuve ? telle est la question selon khahina et nos encetres un fleuve ne disparait jamais meme si il est sec pendant je sais pas combien d'année ou siecles mais il viendra un jour le fleuve retrouve son etat et selon eux un fleuve peut deumeurer sec pendant 40 je sais pas si c 40 an ou bien sciecle mais je crois que c siecle car ils ont fait des recherches et on en a deja des fleuves qui sont disparus il ya des siecles donc le pourquoi de la chose est khahina s'est jetée dans le fleuve esperant bien qu'elle reviendra dans 40 sciecles quand le fleuve retrove son etat d'atre fois et là en moment le fleuve est une valée et on sait pas si elle est en voie de disparition ou bien regeneration ?!!!
merci
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Au commencement du Maghreb arabisé était LA KAHINA. Une femme berbère, dite reine, polarise la résistance à l'envahisseur arabe après la mort de Kusayla en 686, qui avait, le premier, tenu tête aux orientaux déferlant sur " le lointain perfide ", selon l'image attribuée au calife Omar. Toute les dates sont incertaines, sauf celle de 697 (reprise de Carthage par les Byzantins avant de perdre la ville en 698, définitivement), comme le note Charles Diehl. En outre, nous sommes aussi bien dans l'histoire que dans le mythe. Très nombreux sont ceux qui ont écrit sur l'héroïne berbère. On a parlé d'elle comme de la Déborah berbère, de la Jeanne d'arc du Maghreb. Les écrivains arabes, eux, ont voulu montrer que Berbères et Arabes se sont vite mis d'accord et que l'union est parfaite; mais la vérité est tout autre. Tandis que, dans l'Algérie occidentale, se reconstituaient de grandes confédérations berbères, les Arabes venus d'Égypte pénétrèrent, dès 647, dans le Maghreb. Mais ce fut seulement en 683 que la grande armée de Sidi 'Oqba en entreprit la conquête. Byzantins et Berbères, souvent alliés, résistèrent de leur mieux. L'histoire a conservé le nom de deux de leurs chefs : Kosayla qui reprit même aux Arabes la citadelle de Kairouan et la Kahina qui défendit l'Aurès. Vainqueurs, les Arabes réussirent à installer leur autorité sur l'ensemble du pays et se constituèrent en caste aristocratique dominante. En outre, ils surent détourner l'ardeur belliqueuse des Berbères en les entraînant à la conquête de l'Espagne. Une vigoureuse campagne de propagande religieuse provoqua l'adhésion des populations à l'islam, mais les conversions ne furent pas toujours très sincères : un texte célèbre d'Ibn Khaldoun n'affirme-t-il pas que les Berbères apostasièrent douze fois ? Il est vrai que, même convertis, ils étaient traités par leurs vainqueurs comme des infidèles : à partir du VIIIe siècle ils furent assujettis aux mêmes impôts que ceux-ci. Les Berbères s'opposèrent à cette domination étrangère, et recoururent notamment à la protestation religieuse. Ils se jetèrent d'abord dans le kharijisme, hérésie musulmane à tendance puritaine et égalitariste qui prétendait faire désigner par le peuple le chef de la Communauté islamique. Les kharijites expulsèrent les Arabes du Maghreb central et constituèrent de véritables théocraties indépendantes. Tel fut le petit royaume ibadite de Tahert (Tagdempt près de Tiaret) fondé par Ibn Roustem à la fin du VIIIe siècle et qui ne fut détruit qu'en 911 par l'armée fatimide, alors maîtresse de Kairouan. (LA KAHINA) Surnom de la "reine des Aurès" signifiant "la Prophétesse". Al-Kahina régna sur plusieurs tribus de Berbères de l'Aurès, dont la sienne propre, celle des Djarawa, de 685 environ à 704 ou 705. À la fin du VIIe siècle, l'Afrique du Nord voit s'affronter trois forces : les Byzantins d'abord, solidement implantés sur les côtes, avec Carthage surtout et Septem (Ceuta) comme points d'appui ; les Arabes, ensuite, qui arrivent de l'est et tentent de pénétrer en Ifriqiyya (actuelle Tunisie) et, de là, dans tout le Maghreb (Occident) ; les Berbères habitants des lieux, groupe homogène du point de vue ethnique mais profondément divisé selon qu'ils sont nomades ou sédentaires, agriculteurs ou citadins commerçants. Carthage tombe (695) devant Hasan ibn al-Nu'man al-Ghassani, nouveau gouverneur de l'Ifriqiyya. L'empereur Léontios réussit à reprendre la ville, mais seulement pour trois ans. De son côté la Kahina parvient à refaire l'unité berbère autour de sa personne et de sa tribu. Elle écrase l'armée d'Ibn al-Nu'mân, sur les bords de la Miskiyâna (près de Tébessa) dans le Constantinois et la repousse en Tripolitaine. En 798, Ibn al-Nu'man reporte ses efforts sur Carthage qu'il enlève, mettant les Byzantins en déroute : la maîtrise des mers dans le bassin occidental de la Méditerranée passe aux Arabes. Ibn al-Nu'man fonde Tunis. Un seul obstacle se dresse encore devant l'avance des Arabes vers l'ouest : la Kahina et le royaume qu'elle a constitué au Maghreb. Âme d'une résistance intransigeante, elle aurait pratiqué la politique désespérée de la terre brûlée, saccageant le pays, détruisant les villes et brûlant les plantations pour en détourner les Arabes et les décourager. Cette politique lui aliène la population sédentaire, tant citadine (grecque et berbère) que campagnarde. Ibn al-Nu'man tire parti de cette situation, réclame et reçoit des renforts armés que le calife 'Abd al-Malik vient de lui envoyer (702) et reprend l'offensive; Certaines sources le prétendent. La bataille eut lieu à Tabarqa. La Kahina y fut vaincue et décapitée (en 704/05) au lieu dit depuis Bir al-Kahina (le puits de la Kahina). La voie vers l'Atlantique était ouverte aux Arabes. L'histoire de cette femme fougueuse et indomptable (la "Déborah berbère") est en grande partie légendaire : les romanciers s'en sont emparés.« Puis-je rendre ma vie
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