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Pour l'OMS, le virus H1N1 ne peut plus être arrêté

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  • Pour l'OMS, le virus H1N1 ne peut plus être arrêté

    Le virus de la grippe A H1N1 se propage dans le monde à une vitesse "sans précédent" par rapport à d'autres épidémies, a averti vendredi 17 juillet l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

    "Au cours des pandémies dans le passé, il a fallu plus de six mois aux virus grippaux pour se propager aussi largement que l'a fait le nouveau virus H1N1 en moins de six semaines", a relevé l'organisation dans une note publiée sur son site Internet.

    Le grand nombre de contaminations en peu de temps "tient à une combinaison de facteurs", explique un porte-parole de l'OMS, Gregory Hartl. "Le virus se propage très efficacement d'homme à homme, y compris en l'absence de symptômes" chez un porteur de la maladie, précise-t-il. Interrogé sur la manière dont les politiques de vaccination peuvent être déterminées en l'absence de statistiques globales, M. Hartl a rappelé que selon l'OMS "le virus ne peut plus être arrêté et que tous les pays vont avoir besoin de vaccin".

    Virtuellement, les 6,8 milliards d'habitants de la planète sont susceptibles d'être contaminés, a-t-il affirmé.

    CENT TRENTE-SIX PAYS TOUCHÉS


    Selon le dernier bilan communiqué par l'OMS le 6 juillet, le virus A (H1N1) avait contaminé quatre-vingt-quatorze mille cinq cent douze personnes dans cent trente-six pays et territoires, causant quatre cent vingt-neuf morts. Désormais, les informations quantitatives sur l'évolution de la pandémie sont données de manière éparse par les pays eux-mêmes.

    Si les Etats-Unis restent le pays le plus touché avec 170 morts avéré, l'Amérique latine, surtout dans sa partie australe actuellement en plein hiver, est une des régions au monde les plus frappées par la pandémie, avec un bilan en rapide augmentation passé ces derniers jours à 137 morts en Argentine, 33 au Chili, 19 en Uruguay, 11 au Pérou, 8 au Paraguay, pour plus de 15.000 malades au total. Après l'annonce de trois nouveaux décès, le Pérou a décidé vendredi d'annuler les défilés militaires prévus le lendemain de la fête nationale, le 28 juillet.

    Par le Monde

  • #2
    Le plan secret de Sarkozy de vaccination contre la grippe porcine

    Le plan secret de Sarkozy de vaccination contre la grippe porcine

    Article original en anglais, Sarkozy Secret Plan for Mandatory Swine Flu Vaccination, publié le 3 juin 2009 par F. William Engdahl

    Selon un article sur des fuites dans un journal français, le gouvernement français est en train de mettre au point des plans secrets, pour imposer à l'ensemble de la population française une campagne de vaccination obligatoire, prétendument contre une éventuelle maladie de grippe porcine. Ce plan, sans précédent, va même à l encontre des recommandations des avis de la santé publique. Les géants pharmaceutiques bénéficient de cette mesure, tandis que la grippe porcine pousse la tendance à la militarisation de la santé publique et au recours inutile à la panique dans la population pour faire avancer l'ordre du jour.

    Selon un article de l'édition du 30 mai du quotidien français Le Journal du Dimanche, le régime Sarkozy a autorisé une dépense d'environ 1 milliard d'euros pour acheter des vaccins, destinés prétendument à lutter ou à protéger contre le virus H1N1 de la grippe porcine.

    Le seul problème, c est que, à ce jour, ni l'OMS, ni le Center for Diseases Control (CDC) des États-Unis n ont réussi à isoler, photographier au microscope électronique, ni à classer chimiquement le virus Influenza A H1N1. Rien de scientifique n indique non plus que des virologistes français l'aient fait. Rendre obligatoire des médicaments contre une maladie supposée, qui n'est même pas caractérisée, est pour le moins douteux.


    Encore plus étrange, il y a l'aveu de la Food & Drug Administration du régime étasunien, l organisme chargé de la santé et la sécurité de ses citoyens, selon lequel, le « test » autorisé à sortie prématurée pour contrôler le H1N1 n'est même pas éprouvé. Plus précisément, dans tous les décès présentés à ce jour comme preuve scientifique de mort attribuable au virus H1N1 de la grippe porcine, il n'existe aucune preuve médico-légale qu ils soient dus effectivement à ce genre de virus. Les épidémiologistes européens pensent que les décès rapportés à ce jour sont « le fruit du hasard » ou de ce qu on dénomme infections opportunistes.

    Ce que nous savons avec certitude, c'est que les gens qui sont morts ont souvent eu avant des complications respiratoires de nature non divulguée. Des gens meurent chaque jour de maladies respiratoires. Aux États-Unis seuls, quelques 36.000 décès liés à la grippe sont enregistrés chaque année, sans panique ni frayeur excessive.
    La plupart sont des personnes âgées ou des patients atteints de maladies pulmonaires.
    À ce jour, dans toute la France, 24 personnes ont été identifiées par les autorités de santé comme ayant les « symptômes » du H1N1. Il est intéressant de noter ce que citent l'OMS et le CDC comme symptômes du H1N1 : température, toux, maux de tête, écoulement nasal. Hmmmmm.

    Connaissez-vous quelqu'un avec les symptômes de la grippe porcine ?
    On notera aussi que, dans le dépouillement de plus de 15.000 cas de grippe porcine du H1N1 « confirmés » dans le monde, la grande majorité a guéri miraculeusement en trois à sept jours, tout comme dans le cas d'un mauvais rhume.

    Objectif : Militariser la santé publique

    Il devient de plus en plus évident qu’une arrière-pensée est derrière les vagues successives de panique de masse créées ces dernières années par la CDC, l'OMS et des organismes gouvernementaux.
    Nous avons été affolés de manger du bœuf quand le bétail, au Royaume-Uni et ailleurs, a développé une maladie mortelle appelée ESB ou « maladie de la vache folle. »
    Plus tard émergea la preuve du fait que l'ESB était la conséquence de la vaccination des vaches pour tuer des insectes inoffensifs qu elles ont sous la peau.
    Plus récemment, après des rapports de cas de ce qu'on appelle la « fièvre catarrhale» chez la vache, le mouton et la chèvre en Belgique et en Hollande en 2006, les autorités vétérinaires d Allemagne, de Suisse et d Autriche ont imposé une vaccination obligatoire ou un traitement avec des médicaments pour soi-disant protéger les animaux des morsures d'insectes prétendument porteurs de maladie habituellement inoffensives.

    La vaccination des animaux des cheptels a été rendue obligatoire contre une maladie qui est en général si anodine qu elle passe inaperçue, et qui dans de rares cas extrêmes pourrait être liée à la mort.
    Tous les animaux de plus de trois mois devaient être vaccinés.
    Les vaccins, selon un rapport de la publication suisse Aegis-Impuls de 2008, ont provoqué la mort en masse, une baisse de la natalité, une diminution de la production laitière, des crises cardiaques et d'autres graves effets. Les vaccins ont été utilisés en dépit du fait que personne apparemment n avait certifié leur sûreté avant.
    Ils contenaient typiquement de l'hydroxyde d'aluminium et du Thiomersol ou mercure, en tant qu adjuvants et/ou conservateurs, tous deux hautement toxiques et tous deux également utilisés dans la plupart des vaccins humains.

    En dépit de la masse de protestations et de rapports auprès des autorités vétérinaires en Allemagne, en Suisse et en Autriche, il n a pas été tenu compte des alertes et la vaccination de masse obligatoire a continué. Il n'est guère étonnant que les agriculteurs prennent leurs tracteurs pour protester dans la rue.

    Le rapport d'un plan secret du gouvernement français, visant à vacciner tous les citoyens français de plus de trois mois, plus de 100 millions de doses, est plus que préoccupant.
    Selon Le Journal du Dimanche, anticipant un probable retour du virus en automne, le gouvernement français va dépenser près d'un milliard d'euros pour acheter des vaccins.
    Les autorités annonceront en automne si elles décident de rendre le vaccin obligatoire.
    « Nous serons prêts à attaquer dans un délai très court, » explique la ministre de la Santé.
    Selon les sources, l'État veut commander 100 millions de doses vaccinales contre la grippe auprès de trois laboratoires, GlaxoSmithKline, Novartis et Sanofi. Les deux derniers sont des compagnies françaises.

    Le rapport français vient juste après l adoption par le Sénat de l'État du Massachusetts d un projet de loi de vaccination obligatoire contre la prétendue grippe porcine du H1N1.
    Dans l'hôpital d'État de l'État de New York, le planning des autorités est de débattre de rendre obligatoire la vaccination annuelle contre la grippe pour tout employé de la santé publique, bien qu il n'existe aucun vaccin approuvé contre le H1N1.
    De plus en plus, il commence à apparaître que la peur des pandémies
    d oiseaux ou de porcs est un prétexte pour justifier les vaccins obligatoires avec des substances dont les effets secondaires néfastes sont manifestement plus grave que la grippe dont ils devraient nous prémunir.


    Novavax, une compagnie pharmaceutique étasunienne de Rockville dans le Maryland, vient juste d annoncer assez opportunément qu elle développe un vaccin contre le H1N1, basé sur des « particules apparentées aux virus, » contenant trois protéines du virus de la grippe sans les gènes nécessaires à la réplication.
    Le vaccin est produit grâce à des techniques de modification génétique des organismes ou des OGM.
    L'annonce a été faite dans les jours où la compagnie a annoncé une perte d'exercice financier de 36 millions de dollars.

    Le médicament Tamiflu, qui est officiellement recommandé par l'OMS comme traitement pour « atténuer » les symptômes d une éventuelle grippe porcine ou Influenza A H1N1, telle qu'elle a été rebaptisée, est lui-même hautement toxique. Santé Canada a informé les Canadiens de rapports internationaux sur des hallucinations et des comportements anormaux, dont l automutilation, chez des patients prenant le médicament antiviral Tamiflu.

    Dans certains cas, la mort a été le résultat, et de graves complications pulmonaires sont largement associées au Tamiflu, le médicament dont le principal bienfaiteur financier est considéré comme son plus grand actionnaire, l'ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld.

    En 1976, aux États-Unis, le Président Gerald Ford, soucieux de remporter une élection serrée, face à une éventuelle pandémie, ordonna une vaccination de masse de la population, pour montrer aux électeurs qu'il était un Président « pratique. »
    La pandémie de 1976 n'arriva jamais, mais un grand nombre de gens souffrirent des graves effets neurologiques secondaires du vaccin, dont la production avait été précipitée, parmi lesquels furent signalés 25 décès du syndrome de Guillain-Barré.

    La vaccination obligatoire avec des médicaments dont les effets secondaires sont inconnus, parce qu'ils n'ont pas été rigoureusement testés de façon indépendante, commença à frapper le genre humain aux États-Unis ou en Allemagne durant les années 30, lors d’expériences humaines de masse, effectuées avec des prisonniers handicapés mentaux et d autres personnes défavorisées…

    Grippe porcine : Le remède absolu !!!


    Vous avez sûrement entendu les propos rassurants de Roselyne Bachelot sur le fait que la France dispose de traitements en quantité suffisante pour traiter le cas échéant la grippe porcine ; elle a évoqué le tamiflu, également utilisé contre la grippe aviaire.

    Depuis, des anxieux se précipitent dans les pharmacies pour obtenir le fameux tamiflu, qui n'est délivré que sur ordonnance. Pas de panique ! de quoi est constitué le tamiflu ?

    d'ostelamivir, produit à partir d'acide shikimique, lequel tire son nom du shikimi, autrement dit la badiane japonaise.

    Or qu'est-ce que la badiane ? c'est la fleur qui contient l'anis gras et qu'on utilise dans la fabrication du pastis.

    Alors, si vous voulez être immunisés contre la grippe porcine, pas de panique : buvez du Ricard !
    La tour Eiffel et les Aurès.
    Irène Fatima Zohra.

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    • #3
      Arg ! le grand complot !

      Bon, sérieusement, le conflit des décideurs (ceux qu'on engueulent lorsqu'ils ne font rien) est le suivant : ce virus est benin et la pandémie est certaine. Qu'est ce qu'on fait chef ?

      1/ On vaccine "barrage"
      2/ on vaccine "protection"
      3/ que dalle

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      • #4
        ...........

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        • #5
          Je me fait vacciner tous les ans contre la grippe ( bronchite chronique ).
          D'après mon médecin généraliste vu cet aprèm, il me vaccinera " comme tous les ans " car, d'après lui, les vaccins contre la grippe A ne sont pas encore fabriqués et ne le seront pas en automne ! ?
          Les chercheurs n'ont pas, à ce jour, réussi à isoler le virus A !
          Donc pas de nouveau vaccins en vue !
          Je répète ce qu'il m'à répondu
          La tour Eiffel et les Aurès.
          Irène Fatima Zohra.

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          • #6
            On n'a jamais compris les vraies intentions des gouvernements. Soit ils ne comprennent rien en la matière, soit ils ont des intérêts quelques parts.
            Il est difficile de trancher, recourir à quel remède? Mais franchement je répète ce qui a été dit plus haut, si le virus n'a pas encore été isolé, comment pourrions-nous prétendre quoique ce soit et dire tel vaccin est bon.
            La pandémie prend de l'ampleur, d'accord, mais il faut bien comprendre son processus, identifier les conséquences liées à elle seule (chose qui n'est pas facile). On sonne l'alarme dès que quelqu'un meurt rapportant son décés automatiquement au virus A (sans que ça soit vérifié) tandis qu'on parle peu des cas de ceux qui ont guéri et même de leur nombre.
            On veut plus de clarté sur le sujet.
            Je deviens paranoïaque pour certains mais en réalité j'ai appris des choses dont je ne soupçonnais guère l'existence.

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            • #7
              @Walidk
              Ben, il y a des organismes & administrations spécialisés, des gens compétents qui s'occupent de ce genre de questions, (qui font leur métier en somme). Voir sites sur Internet. L'OMS par exemple (http://www.who.int/csr/disease/swineflu/fr/index.html).

              Ensuite les décisions, c'est une autre question. Elle suit l'état des lieux (mesure et analyse) ... Et comme pour tout dirais-je, les avis divergent. Décider c'est un métier aussi.

              En plus ici le cas est limite ... Le virus est bénin et il y aura très probablement une méga épidémie (1 milliard ?). Que décider ? Si le virus était dangereux, ce serait plus simple à décider / convaincre. Là ... visiblement "on" se tâte. Politiquement c'est casse gueule car l'électeur veut être 100 % protégé mais ne prendre aucun risque, être informé mais sans les subtilités techniques, être tenu au courant mais pas inutilement affolé, attendre tout des décideurs et experts mais libre de tout critiquer à sa guise.

              Quant aux méchancetés & avidités humaines (ceci pour le 1er post d'Irène !). C'est le même taux qu'ailleurs. Les intérêts aussi. Il y a aussi des tas de gens qui font leur travail honnêtement et sérieusement.
              Dernière modification par Alain, 24 juillet 2009, 05h56.

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              • #8
                Merci Alain pour le lien, très intéressant.
                Je deviens paranoïaque pour certains mais en réalité j'ai appris des choses dont je ne soupçonnais guère l'existence.

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