La calvitie pourrait être liée à un dysfonctionnement des cellules souches à l’origine de la formation des follicules pileux.
L'alopécie androgénétique (AGA), également appelée calvitie commune, est caractérisée par une diminution marquée de la taille du follicule pileux, ce qui pourrait être liée à la perte ou au mauvais fonctionnement des cellules souches ou progénitrices de ces follicules, relate une étude publiée dans le Journal of Clinical Investigation.
Pour tester cette hypothèse, les chercheurs ont comparé le crâne d’hommes chevelus et d’autres chauves. Il en ressort que chez les hommes dépourvus de cheveux les follicules pileux, structure qui produit les poils et les cheveux, sont de taille réduite.
Selon le schéma classique de la calvitie, ce sont d'abord les tempes qui se dégarnissent, puis le haut du crâne, vers l'arrière. (SIPA)
L'alopécie androgénétique (AGA), également appelée calvitie commune, est caractérisée par une diminution marquée de la taille du follicule pileux, ce qui pourrait être liée à la perte ou au mauvais fonctionnement des cellules souches ou progénitrices de ces follicules, relate une étude publiée dans le Journal of Clinical Investigation.
Pour tester cette hypothèse, les chercheurs ont comparé le crâne d’hommes chevelus et d’autres chauves. Il en ressort que chez les hommes dépourvus de cheveux les follicules pileux, structure qui produit les poils et les cheveux, sont de taille réduite.
Selon les chercheurs, cette diminution de taille est liée à une raréfaction de certaines cellules dites progénitrices. Ces cellules sont des cellules souches matures qui sont à l’origine de la formation des follicules capillaires. Ils observent également que zones dégarnies et zones mieux équipées ont pourtant le même nombre de cellules souches, c’est leur qualité qui est différente.
S’ils n’expliquent pas pourquoi les cellules souches s’inactivent chez les chauves, les chercheurs gardent l’espoir, dans les prochaines années, de trouver un moyen de rétablir leur bon fonctionnement et par là même de relancer la production de follicules pileux.
Des tests sur des souris ont prouvé que la greffe de cellules souches progénitrices pouvait réenclencher la production de poils chez des rongeurs immunodéficients. Une solution qui est loin d’être transposable à l’Homme. Néanmoins ces résultats ouvre la possibilité d’un futur traitement de la calvitie.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
07/01/2011
L'alopécie androgénétique (AGA), également appelée calvitie commune, est caractérisée par une diminution marquée de la taille du follicule pileux, ce qui pourrait être liée à la perte ou au mauvais fonctionnement des cellules souches ou progénitrices de ces follicules, relate une étude publiée dans le Journal of Clinical Investigation.
Pour tester cette hypothèse, les chercheurs ont comparé le crâne d’hommes chevelus et d’autres chauves. Il en ressort que chez les hommes dépourvus de cheveux les follicules pileux, structure qui produit les poils et les cheveux, sont de taille réduite.

Selon le schéma classique de la calvitie, ce sont d'abord les tempes qui se dégarnissent, puis le haut du crâne, vers l'arrière. (SIPA)
L'alopécie androgénétique (AGA), également appelée calvitie commune, est caractérisée par une diminution marquée de la taille du follicule pileux, ce qui pourrait être liée à la perte ou au mauvais fonctionnement des cellules souches ou progénitrices de ces follicules, relate une étude publiée dans le Journal of Clinical Investigation.
Pour tester cette hypothèse, les chercheurs ont comparé le crâne d’hommes chevelus et d’autres chauves. Il en ressort que chez les hommes dépourvus de cheveux les follicules pileux, structure qui produit les poils et les cheveux, sont de taille réduite.
Selon les chercheurs, cette diminution de taille est liée à une raréfaction de certaines cellules dites progénitrices. Ces cellules sont des cellules souches matures qui sont à l’origine de la formation des follicules capillaires. Ils observent également que zones dégarnies et zones mieux équipées ont pourtant le même nombre de cellules souches, c’est leur qualité qui est différente.
S’ils n’expliquent pas pourquoi les cellules souches s’inactivent chez les chauves, les chercheurs gardent l’espoir, dans les prochaines années, de trouver un moyen de rétablir leur bon fonctionnement et par là même de relancer la production de follicules pileux.
Des tests sur des souris ont prouvé que la greffe de cellules souches progénitrices pouvait réenclencher la production de poils chez des rongeurs immunodéficients. Une solution qui est loin d’être transposable à l’Homme. Néanmoins ces résultats ouvre la possibilité d’un futur traitement de la calvitie.
J.I.
Sciences et Avenir.fr
07/01/2011
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