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pour que je ois exact et ne pas dire des betises..j'ai trouvé ça
attention c'est juste pour ton information personnelle..il n'ya qu'un specialiste pour poser le diagnostic....
SCHIZOPHRÉNIE est un mot utilisé pour la première fois par le psychiatre suisse Eugène Bleuler en 1911. C'était le terme qui illustrait le mieux selon lui la séparation de certaines fonctions psychiques; "schizo" vient du grec et signifie fendre, séparer et "phrên" veut dire esprit.
La schizophrénie est une maladie qui découle d’une modification du fonctionnement du cerveau. Elle n’altère pas l’intelligence. Ce trouble atteint surtout de jeunes adultes au début d’une vie prometteuse et se prolonge pendant plusieurs années. La schizophrénie se manifeste par des épisodes aigus de psychose, suivis de divers symptômes chroniques constituant un handicap.
Quels sont les symptômes aigus de la schizophrénie ?1-
Les hallucinations sont une distorsion des perceptions des sens. Le plus souvent, le schizophrène entend des voix qui le tourmentent, le font souffrir. Elles peuvent l’accuser, lui donner des ordres, le contrôler, le menacer…
2-
Le délire consiste en une modification du raisonnement qui amène à une conviction fausse. En quelque sorte, le délire est une théorie qui explique le monde inquiétant et angoissant dans lequel le schizophrène est plongé. Par exemple, l’individu peut être convaincu qu’il est persécuté, en danger, qu’on veut le tuer, ou qu’il est responsable des malheurs dans le monde.
3-
La perturbation de la logique de la pensée se manifeste par un langage incompréhensible, avec des associations d’idées décousues. On peut comprendre que le schizophrène, qui voit ainsi son monde chambardé, peut présenter un repli sur lui-même et un comportement désorganisé.
Quels sont les symptômes chroniques de la schizophrénie ?Après contrôle de la phase de psychose aiguë, 80 % des schizophrènes souffrent de symptômes chroniques, qui constituent en fait l’absence d’un comportement adapté aux circonstances.
Voici en exemples quelques-uns de ces symptômes :
•
Manque d’expression des émotions, visage fixe, discours monotone.
Difficulté à maintenir une conversation, réponses brèves.
Manque d’intérêt, d’énergie, de persistance à effectuer une activité.
Perte de plaisir dans les loisirs, perte d’intérêt pour des activités sociales ou sexuelles, difficulté à nouer des relations intimes.
difficulté à se concentrer, à écouter un long film, à maintenir une lecture.
« Puis-je rendre ma vie
Semblable à une flûte de roseau
Simple et droite
Et toute remplie de musique »
Est-ce que tu connais des cas ou le phénomène s'est inversé, que le patient peut être condidéré comme guéri.
Je ne connais personnellement qu'un schizo mais il me semble que sa condition empire avec l'age malgré un suivi psychiatrique tres serré. Au fait je voudrais savoir si tu considères qu'il y a des l'espoir de vie normale pour ces malades. Merci
personnellement je n'ai jamais entendu le mot guérison avec cette pathologie, en général on rerésente la personalité d'un schizophrène comme un cristale qui se déchecte petit à petit, ce processus peut se ralentir ou s'arrêter de temps à autre mais jamais il ne s'arretera défnitivement de même que le retour à l'état initial de la personalité est impossible .... il nous faut un miracle scientifique pour le voir un jour
être attiré par quelqu'un prend quelques instants, l'apprécier peut prendre quelques secondes et l'aimer en quelques minutes, mais il faudra toute une vie pour oublier quelqu'un
d'apres les les symptômes mon ami est schizophréne
-Les hallucinations : mon ami entend des voix de paersonne imaginaires
-il a perdu du plaisir dans les loisirs
- perte d’intérêt pour des activités sociales ou sexuelles,
-il c'est retire entierement de la societe .pas d'ami ,pas de ralation
-il se parle tout seul dans la rue
-Le délire : parfois il est convaincu qui'l est en danger.
-il a le visa ge fixe,
-Manque d’intérêt, d’énergie, de persistance à effectuer une activité.
avant il etait normal bon vivant intelligent , sociable, aventureux ,
Dernière modification par stranger011, 01 mai 2006, 11h27.
Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire
Bonjour,
J'ai déjà pas mal entendu parler de ce phénomène sans pour autant bien cerner les limites... assez fluctuantes :
Mes questions ne relèvent pas particulièrement d'observations personnelles mais de réflexions que j'ai déjà lues ou entendues. Puis, pour avoir connu un ami et le père d'un voisin schizophrène, il m'a semblé que les symptômes pouvaient être vraiment plus graves et représente un danger pour eux même et leur entourage car ils ne savaient plus juguler ou "détourner" leur violence sans psychotropes.
1. Beaucoup d'entre nous croient en Dieu, le prient, voir lui parlent. Quand on se rend au cimetière, en visite auprès de proches perdus, on prie aussi pour eux, voir on leur parle (beaucoup de vieilles font ça, et pas que des vielles)... D'autres affirment que leur bistrot préféré se trouve dans les cieux, fréquenté par des disparus parfois même jamais connus de leurs vivants... Je ne sais plus de qui il s'agit mais j'avais lu un scientifique aborder ce côté troublant touchant nombres d'êtres humains... Celà relève t'il de la schizophrénie ? Ou d'un imaginaire débordant ?
2. Je vais éviter le terrain du crime de psychopate agissant sur ordre de "voix" intérieure et celui du criminel de guerre ou pour raison d'état ou supérieure, à mon avis trop glissant (pour moi !)... Mais ? Des exemples que je ne saurais pas vraiment exposer et analyser car hormis le tueur en série agisant sur ordre supérieur, que penser d'un Hitler (je vais essayer d'acquerrir le titre Hitler, mon frère par...?) d'un "criminel" de guerre ou d'un assassin agissant par "intérêt supérieur" et/ou raison d'état, et du cas du terroriste, (d'Action Directe au terros palestiniens en passant par Ben Laden... tous très différents mais...?)
3. beaucoup des symptômes que vous décrivez me semblent aussi relever de ce qu'on appelle dépression.. En particulier cyclothomie ou TOC (apathie, associabilité voir éloignement de ceux que l'on aime, craintes multiples...) ... La schizophrénie semble s'y enraciner... Disons que la dépression fait partie des éléments "déclenheurs" ou favorisant l'apparition des troubles schizophréniques. Mais tous les grands dépressifs ne sont pas forcément schizo ?
4. Je rejoint le premier point par quelques exemples "célèbres" : Je lisais l'autre jour dans un magazine féminin une interview de la chanteuse Beyoncé qui affirmait qu'elle avait un "double", un alter ego qu'elle avait même baptisé d'un prénom que je n'ai pas retenu. En elle bien sur : Elle expliquait que c'était ce double qui s'exprimait lorsque par exemple elle était sur scène, très extravertie, explosive alors que dans la vie quotidienne, elle est très douce et très timide... Et qu'elle dialogue avec ce double !
Même cas de figure, pour le peu que j'en lu que retrace Anaïs Nin dans son journal à propos de l'écrivain (à mon goût detestable mais célèbre et très "littéraire") Henri Miller : Elle soulignait l'extrême ambivalence entre la grande violence des ecrits de l'auteur et sa grande douceur dans la vie quotidienne...
Est-ce la réussite socio-économique qui délimite la "normalité" ? Néron, Calligula étaient eux "normaux" parce qu'empereur ?
5. Le libertinage est-il "normalité" quand un fonctionnement tendant à la fidélité relèverait de la pathologie ? Après le règne d'inquisitions pronant l'ascétisme et elles-mêmes perverses, voici venu le temps d'un règne ogresque et décadent, se présentant comme salvateur ?
L'activité artistique, que l'on soit un génie ou un simple amateur, permet souvent de "dévier", de "canalyser" ou de "sublimer" tout sortes d'impressions plus ou moins violentes et destructrices que l'on perçoit du monde qui nous entoure (à moins d'être un mur et encore, que sait-on des murs... N'est-ce pas le cardinal d'Alger qui affirmait publiquement il y a peu que certains batiments sont dotés d'une âme !...). Bien sur, ces actions que ce sont les activités de création artistiques ne sont pas sans conséquences sur le monde... Elles déclenchent elles-mêmes d'autres actions... Moi-même, je m'inspire souvent dans ma vie de musiques que j'aime ou parfois que j'aime moins... C'est dire leur influence.
Est-ce "normal" ou pathologique ? J'ai aussi entendu dire que le fou se croyait souvent normal alors le m'inquiète... Comme dirait Bugs, c'est grave docteur ?
J'avais posté sur le sujet il y a quelques temps déja : Du nouveau sur la schizophrénie et tu y trouveras des liens vers des sites consacré aux maladies et aux troubles mentaux. Ce qui te sera peut être utile car il y en a un qui est constitué par des parents des proches qui témoignent et qui apportent leurs aides concrètes.
Autrement la schizophrénie est un des troubles les plus répandus et c'est bien de vouloir aider ton ami, essayes déja de comprendre le trouble de ton ami et pour cela informe toi sur cette maladie que tu puisses mieux l'aider car tu seras mieux informé et comprendra mieux ce qui se passe dans sa tête . Comme toute maladie mentale, il faut de la patience car c'est un travail de longue haleine et il faut consulter un spécialiste et ça c'est la démarche la plus délicate car il arrive que le schizophrène en dehors de ces crises ne se sente pas malade et ne veut pas consulter.
D'autant plus que face a un probleme psychique les personnes fuient par ignorance.
Tout à fait et d'autant plus qu'il y a toujours une sorte de tabou pour parler de troubles mentaux ou de la maladie en général. Comme si cela était contagieux.
L'ignorance engendre la peur et le rejet alors qu'il ne sert à rien de se mettre des oeillères et de pratiquer la politique de l'autruche.
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