Selon une étude menée par l'hôpital Saint-Bartholomew de Londres et de London National Health Service Trust, un tiers du volume des oreillers sont constitués d'acariens (vivants ou morts), de leurs excréments, de peux mortes et de microbes. Réalisée en milieu hospitalier, l'étude a mis en évidence une trentaine de bactéries telles que le SARM (staphylocoque doré résistant aux antibiotiques), l'E. Coli, et des virus comme celui de la grippe, des hépatites et de la varicelle.
Selon le spécialiste de l'hygiène et auteur de On s'en lave les mains Frédéric Saldmann, "L'oreiller est un milieu de culture idéal. Il apporte à boire grâce à notre transpiration, nos larmes et les projections de la toux et des éternuements. Il fournit à manger puisque nous perdons des squames de peau toutes les nuits. Et, en plus, la ménagerie peut proliférer à son aise, grâce à la chaleur de notre corps, nuit après nuit."
Pour tenter de garder son oreiller le plus propre possible, il convient d'appliquer certaines règles d'hygiène comme ne jamais prêter son oreiller, préférer des coussins synthètiques, les laver tous les trois mois et les changer une fois par an.
Source : Le Point
Selon le spécialiste de l'hygiène et auteur de On s'en lave les mains Frédéric Saldmann, "L'oreiller est un milieu de culture idéal. Il apporte à boire grâce à notre transpiration, nos larmes et les projections de la toux et des éternuements. Il fournit à manger puisque nous perdons des squames de peau toutes les nuits. Et, en plus, la ménagerie peut proliférer à son aise, grâce à la chaleur de notre corps, nuit après nuit."
Pour tenter de garder son oreiller le plus propre possible, il convient d'appliquer certaines règles d'hygiène comme ne jamais prêter son oreiller, préférer des coussins synthètiques, les laver tous les trois mois et les changer une fois par an.
Source : Le Point
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