Ce qui va dans nos estomacs n’est pas toujours sain, ni nutritif. L’hygiène des aliments n’est pas la principale préoccupation des consommateurs qui semblent n’avoir aucune idée des risques qu’ils encourent en ignorant les règles élémentaires de la salubrité.
Elle n’est pas non plus le souci des commerçants et des restaurateurs qui savent qu’il n’y a aucun danger – pour eux bien sûr – à proposer et à vendre des marchandises et de la nourriture avariées ou qui ne répondent pas aux normes d’hygiène.
Des produits laitiers aux viandes, en passant par les œufs, la chaîne de conservation n’est pas respectée, des denrées alimentaires périssables sont laissées à l’air libre ou exposées hors des équipements frigorifiques destinés à leur préservation. Les étals de fortune où l’on trouve de tout sont dans toutes les rues et ruelles, jusque devant les bacs à ordures et à proximité des rigoles d’eaux usées. Des bouteilles d’eau minérale, d’huile et de jus, des boîtes de fromage et des plaquettes d’œufs «souffrent» sous le soleil à longueur de journée. Cela ne semble nullement déranger les acheteurs qui ne sont regardants qu’envers les prix tant qu’ils peuvent mettre quelque chose dans leur couffin.
Mais c’est plus par ignorance par rapport aux risques que les citoyens achètent des produits périssables présentés sur des étals et à même le sol ou ceux dont les composants peuvent les rendre nocifs en raison de leur exposition au soleil et à la lumière.
L’argument financier ne peut pas tenir quand on met sa vie en danger, et que pour des économies de bouts de chandelles on opte pour des denrées à bas prix mais à haute toxicité. Mais ce ne sont pas que les vendeurs informels qui s’adonnent à ce genre de pratiques. Des commerçants légaux ornent les trottoirs de produits sensibles qui subissent les effets de la chaleur et de la lumière. Quartiers de viande et volailles sont suspendus à l’entrée des boucheries, emmagasinant ainsi la poussière et la fumée des véhicules, sans compter la présence des clients à proximité de ces marchandises.
L’appétit venant en mangeant, des propriétaires de fast-food ne ratent pas l’occasion, après les factures un peu salées (on applique les prix qu’on veut, faute de contrôle), de «rafraîchir» leurs clients avec des glaces dont on ne connaît pas toujours la nuisance à la dégustation. L’intoxication n’est jamais loin lorsqu’on se fie à n’importe quoi pourvu que le goût y soit.
Elle n’est pas non plus le souci des commerçants et des restaurateurs qui savent qu’il n’y a aucun danger – pour eux bien sûr – à proposer et à vendre des marchandises et de la nourriture avariées ou qui ne répondent pas aux normes d’hygiène.
Des produits laitiers aux viandes, en passant par les œufs, la chaîne de conservation n’est pas respectée, des denrées alimentaires périssables sont laissées à l’air libre ou exposées hors des équipements frigorifiques destinés à leur préservation. Les étals de fortune où l’on trouve de tout sont dans toutes les rues et ruelles, jusque devant les bacs à ordures et à proximité des rigoles d’eaux usées. Des bouteilles d’eau minérale, d’huile et de jus, des boîtes de fromage et des plaquettes d’œufs «souffrent» sous le soleil à longueur de journée. Cela ne semble nullement déranger les acheteurs qui ne sont regardants qu’envers les prix tant qu’ils peuvent mettre quelque chose dans leur couffin.
Mais c’est plus par ignorance par rapport aux risques que les citoyens achètent des produits périssables présentés sur des étals et à même le sol ou ceux dont les composants peuvent les rendre nocifs en raison de leur exposition au soleil et à la lumière.
L’argument financier ne peut pas tenir quand on met sa vie en danger, et que pour des économies de bouts de chandelles on opte pour des denrées à bas prix mais à haute toxicité. Mais ce ne sont pas que les vendeurs informels qui s’adonnent à ce genre de pratiques. Des commerçants légaux ornent les trottoirs de produits sensibles qui subissent les effets de la chaleur et de la lumière. Quartiers de viande et volailles sont suspendus à l’entrée des boucheries, emmagasinant ainsi la poussière et la fumée des véhicules, sans compter la présence des clients à proximité de ces marchandises.
L’appétit venant en mangeant, des propriétaires de fast-food ne ratent pas l’occasion, après les factures un peu salées (on applique les prix qu’on veut, faute de contrôle), de «rafraîchir» leurs clients avec des glaces dont on ne connaît pas toujours la nuisance à la dégustation. L’intoxication n’est jamais loin lorsqu’on se fie à n’importe quoi pourvu que le goût y soit.
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