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En Algérie, le contrôle des hammams et des salons de coiffure s’impose

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  • En Algérie, le contrôle des hammams et des salons de coiffure s’impose

    Des affections cutanées favorisées par le manque d’hygiène
    Le manque d’hygiène corporelle et la promiscuité favorisent la propagation de certaines affections cutanées a mis en garde le Pr Ismaïl Benkaïdali, chef de service dermatologie au CHU Mustapha et président de la Société algérienne de dermatologie.

    Il s’agit principalement d’infections bactériennes (les furoncles, les folliculites, l’impétigo, l’érysipèle etc), d’infections parasitaires, comme les pédiculoses (poux) du corps ou des cheveux, de la gale, ainsi que d’affections des pieds (mycoses plus ou moins associées à des infections bactériennes).

    Le président de la Société algérienne de dermatologie, le Pr Ismail Benkaïdali, a indiqué, en marge du 24e congrès national de dermatologie, jumelé avec le 19e congrès maghrébin de dermatologie, que ces affections se propagent quant l’hygiène fait défaut dans les hammams, les douches publiques, les salons de coiffure, les mosquées, les écoles.

    Il a prévenu quant à l’utilisation des mêmes serviettes, des mêmes peignes ou des mêmes outils de rasage, qui peut porter préjudice à la santé. Pour le professeur Benkaïdali, il est impératif de contrôler tous ces lieux en Algérie, insistant sur le rôle des collectivités locales et des bureaux d’hygiène communaux.

    De son côté, la présidente de l’Association maghrébine des maladies cutanées, le Dr Hakima Benchikh, a précisé que 80% des maladies génétiques, cutanées répandues dans les pays du Maghreb arabe sont dues aux mariages consanguins, mettant l’accent sur la nécessité de sensibiliser sur les risques qu’impliquent ces pathologies.

    Il est bon de noter qu’entre 500 et 600 spécialistes algériens et étrangers ont pris part au 24e congrès national de dermatologie, jumelé avec le 19e congrès maghrébin de dermatologie tenu les 11 et 12 octobre, à l’hôtel El Aurassi

    . Plusieurs travaux réalisés par de jeunes spécialistes en dermatologie représentant l’Algérie, la Tunisie et le Maroc ont été récompensés. Cette manifestation a vu également la participation d’éminents spécialistes français, dont les professeurs Franck Auralevi et Marco Ambnati, respectivement spécialiste en dermatologie infantile, à l’hôpital de Bordeaux (France), et le Dr Daniel Wallach, spécialiste des dermatoses, médecin des hôpitaux au service de dermatologie de l’hôpital Tarnier, à Paris, ainsi que le professeur Laurent Misery, chef de service de dermatologie au Chru de Brest.

    ar Amel Bouakba- La Tribune

  • #2
    @morjane tu n as pas de coeur !

    imaginons un peu que tous les citoyens soient sains de corps et d ésprit

    il y aura une vraie crise de santé en algérie ,

    -1-les dematologues ,les médecins g,les pédiatres , SAIDAL , ...se trouveront au chaumage

    -2- déjà que leur revenu est concurencé par le sécteur publique avec la GRATUITé des soins.


    -3-et les impots , les assurances sont de plus en plus gourmands d année en année afin que l état puisse payer les augmentations des salaires des autres secteurs pubiques ...

    pour exemple

    la gale et les poux sont bels bien présents dans des hotels luxieux enIrlande , a Paris des enfants poueux , a New-York des puces dans les taxis ....


    Le vrai probleme dans l éducation 1° de la cellule familliale -ou il ya tout un mond de savoir faire -, et dans la qualité de la formation.
    Dans ces univérsités du tiers-monde on vous demandera le livret de famille ou est inscrit le bébé qui est encore dans le ventre de sa maman,sinon il n est pas viable.

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