Les malades atteints de la spina-bifida, une malformation congénitale, sont mal pris en charge en Algérie, a constaté l’association des malades atteints de cette maladie.
Elle propose de faciliter le transfert de ces malades à l’étranger, seule alternative, en l’absence de moyens pour leur sauver la vie. Ils sont environ 500 cas en Algérie à souffrir de cette pathologie. Selon le président de l’Association des malades atteints de la spina-bifida de la wilaya de Mostaganem, qui a animé, hier, une conférence de presse au forum du quotidien El Moudjahid, le manque d’équipements nécessaires et d’équipes multidisciplinaires pour prendre en charge cette maladie dans les établissements hospitaliers augmente le calvaire des malades.
Ces malades soignés en Algérie, dit-il, sont livrés à eux-mêmes juste après l’intervention chirurgicale. Ils ne sont pas suivis, faute d’infrastructures capables de les accueillir jusqu’à la fin de leur convalescence. C’est pourquoi, le président de l’Association locale de Mostaganem des malades atteints de la spina-bifida, propose de faciliter le transfert de ces malades à l’étranger puisque l’Algérie n’a pas les moyens de les prendre en charge. Le conférencier, qui appelle à la création d’une association nationale des malades atteints de la spinabifida, a indiqué que la première journée mondiale de cette maladie sera célébrée du 22 au 25 octobre en cours à Strasbourg.
Le Soir
Elle propose de faciliter le transfert de ces malades à l’étranger, seule alternative, en l’absence de moyens pour leur sauver la vie. Ils sont environ 500 cas en Algérie à souffrir de cette pathologie. Selon le président de l’Association des malades atteints de la spina-bifida de la wilaya de Mostaganem, qui a animé, hier, une conférence de presse au forum du quotidien El Moudjahid, le manque d’équipements nécessaires et d’équipes multidisciplinaires pour prendre en charge cette maladie dans les établissements hospitaliers augmente le calvaire des malades.
Ces malades soignés en Algérie, dit-il, sont livrés à eux-mêmes juste après l’intervention chirurgicale. Ils ne sont pas suivis, faute d’infrastructures capables de les accueillir jusqu’à la fin de leur convalescence. C’est pourquoi, le président de l’Association locale de Mostaganem des malades atteints de la spina-bifida, propose de faciliter le transfert de ces malades à l’étranger puisque l’Algérie n’a pas les moyens de les prendre en charge. Le conférencier, qui appelle à la création d’une association nationale des malades atteints de la spinabifida, a indiqué que la première journée mondiale de cette maladie sera célébrée du 22 au 25 octobre en cours à Strasbourg.
Le Soir
