LA campagne de vaccination contre la grippe saisonnière débute aujourd’hui en Algérie. L’Institut Pasteur d’Algérie a reçu plus de deux millions de doses de vaccins antigrippaux. Les personnes particulièrement concernées sont les sujets âgés de 65 ans, les malades chroniques et les femmes enceintes à partir du deuxième trimestre de la grossesse.
C’est parti ! L’Algérie lance officiellement la campagne annuelle de vaccination contre la grippe saisonnière. Le vaccin antigrippal est disponible depuis hier dans les établissements de santé publics, où il sera administré gratuitement, et les officines (520 DA la dose) où il sera remboursé pour les personnes âgées et les malades chroniques assurés sociaux. L’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) a réceptionné 2,06 millions de doses de vaccin.
Les groupes pharmaceutiques français Sanofi Pasteur et suisse Novartis, qui ont obtenu le contrat du marché du vaccin pour la campagne nationale de vaccination 2012-2013, ont fourni à l’IPA 1,8 million de vaccins mono-doses, 200 000 multi-doses et 60 000 vaccins pédiatriques. Si le nombre de doses commandées reste le même que celui de l’année dernière, celui des mono-doses a augmenté de 300 000 doses cette année.
Cette décision s’explique par l’écoulement de toute la quantité de mono-doses importée l’année dernière, explique-t-on. Le ministère de la Santé qui prévoit la vaccination, pour cette année, de deux millions de personnes contre un million 400 000 l’année dernière, rassure. «Toutes les conditions nécessaires ont été réunies pour le déroulement de cette campagne concernant notamment la gratuité et le remboursement », a déclaré le directeur de la prévention au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Selon lui, chaque année, près d'un million 50 000 personnes sont touchées par la grippe saisonnière. En Algérie, le pic de l’activité grippale est enregistrée durant la période du 15 janvier au 15 février. C’est pourquoi, le personnel médical conseille d’effectuer cette vaccination avant la circulation active des virus grippaux. Après vaccination, explique-t-on, l’organisme a besoin de deux semaines pour former les anticorps nécessaires. La grippe, caractérisée par sa haute contagiosité, provoque des complications sévères pouvant aboutir au décès chez certaines personnes fragilisées, avertissent les professionnels de la santé.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) -
C’est parti ! L’Algérie lance officiellement la campagne annuelle de vaccination contre la grippe saisonnière. Le vaccin antigrippal est disponible depuis hier dans les établissements de santé publics, où il sera administré gratuitement, et les officines (520 DA la dose) où il sera remboursé pour les personnes âgées et les malades chroniques assurés sociaux. L’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) a réceptionné 2,06 millions de doses de vaccin.
Les groupes pharmaceutiques français Sanofi Pasteur et suisse Novartis, qui ont obtenu le contrat du marché du vaccin pour la campagne nationale de vaccination 2012-2013, ont fourni à l’IPA 1,8 million de vaccins mono-doses, 200 000 multi-doses et 60 000 vaccins pédiatriques. Si le nombre de doses commandées reste le même que celui de l’année dernière, celui des mono-doses a augmenté de 300 000 doses cette année.
Cette décision s’explique par l’écoulement de toute la quantité de mono-doses importée l’année dernière, explique-t-on. Le ministère de la Santé qui prévoit la vaccination, pour cette année, de deux millions de personnes contre un million 400 000 l’année dernière, rassure. «Toutes les conditions nécessaires ont été réunies pour le déroulement de cette campagne concernant notamment la gratuité et le remboursement », a déclaré le directeur de la prévention au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Selon lui, chaque année, près d'un million 50 000 personnes sont touchées par la grippe saisonnière. En Algérie, le pic de l’activité grippale est enregistrée durant la période du 15 janvier au 15 février. C’est pourquoi, le personnel médical conseille d’effectuer cette vaccination avant la circulation active des virus grippaux. Après vaccination, explique-t-on, l’organisme a besoin de deux semaines pour former les anticorps nécessaires. La grippe, caractérisée par sa haute contagiosité, provoque des complications sévères pouvant aboutir au décès chez certaines personnes fragilisées, avertissent les professionnels de la santé.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) -