Médicament anti-inflammatoire couramment prescrit, Voltarène® (diclofénac) pourrait augmenter le risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral (surtout pris sous forme orale).
Voilà pourquoi des scientifiques réclament son retrait du marché. D'après leurs recherches menées sur plusieurs méta-analyses évaluant les risques liés à la prise d'AINS (anti-inflammatoires non stéréodiens) tels que ibuprofène, celecoxib..., les gens qui prennent du diclofénac auraient 60% plus de risques de faire une crise cardiaque que ceux sous naproxen (un autre analgésique moins prescrit en Europe).
Le Voltarène® serait ainsi tout aussi dangereux que le rofecoxib, plus connu sous le nom de Vioxx®, anti-inflammatoire retiré du marché français en 2004 à cause trop gros risques d'accidents cardiaques. Etonnée que ce traitement soit encore largement utilisé, le Dr Patricia McGettigan rappelle qu'il y a «de solides arguments pour révoquer ses autorisations de commercialisation dans le monde». Selon elle, les patients sous Voltarène® ne doivent pas interrompre leur traitement sans avis médical mais en parler avec leur médecin traitant.
Le Soir
Voilà pourquoi des scientifiques réclament son retrait du marché. D'après leurs recherches menées sur plusieurs méta-analyses évaluant les risques liés à la prise d'AINS (anti-inflammatoires non stéréodiens) tels que ibuprofène, celecoxib..., les gens qui prennent du diclofénac auraient 60% plus de risques de faire une crise cardiaque que ceux sous naproxen (un autre analgésique moins prescrit en Europe).
Le Voltarène® serait ainsi tout aussi dangereux que le rofecoxib, plus connu sous le nom de Vioxx®, anti-inflammatoire retiré du marché français en 2004 à cause trop gros risques d'accidents cardiaques. Etonnée que ce traitement soit encore largement utilisé, le Dr Patricia McGettigan rappelle qu'il y a «de solides arguments pour révoquer ses autorisations de commercialisation dans le monde». Selon elle, les patients sous Voltarène® ne doivent pas interrompre leur traitement sans avis médical mais en parler avec leur médecin traitant.
Le Soir
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